Transfert : une 4e offre de Manchester City refusée, Mahrez ne comprend pas la décision de Leicester
Après avoir réclamé un départ en fin de mercato, Riyad Mahrez se retrouve bloqué à Leicester City. En effet, ses dirigeants ont refusé plusieurs offres généreuses de Manchester City. D'où la frustration de l'ailier algérien.
Les heures passent et les choses ne tournent pas en faveur de Riyad Mahrez. Malgré sa demande officielle de départ, le milieu offensif de 26 ans est retenu par Leicester City qui refuse de céder sous la pression.
Rappelons que l'ancien Havrais ne s'est pas présenté à l'entraînement mardi. Sans surprise, il n'a donc pas été convoqué pour affronter Everton ce mercredi en Premier League. De quoi provoquer des tensions dans le vestiaire.
Leicester réclame une somme folle !
Du coup, Leicester semble prendre un malin plaisir à refuser les offres de Manchester City, dont la dernière atteignait 74 M€ plus un joueur. Une proposition très séduisante ! Mais de leur côté, les Foxes réclameraient 108 M€ plus un Citizen. Une manière de fermer la porte à un départ de Mahrez qui a évidemment du mal à digérer cette décision.
Mahrez est «abattu»
«Riyad est très abattu après ce qu'il s'est passé ces derniers jours, a témoigné un ami de l'international algérien auprès de Sky Sports. Il ne comprend pas la décision de Leicester. C'est le quatrième mercato où Leicester lui dit qu'il peut partir. Le club aurait fait un bénéfice de 59 millions de livres (environ 67 M€) sur son transfert. Il a tout donné pour Leicester afin de partir cet hiver. Rejoindre Manchester City pour travailler avec Pep Guardiola aurait été un rêve pour lui. Il y croit encore.»
A moins d'un revirement de situation, Leicester continuera de bloquer son joueur histoire de lui faire comprendre qui est le patron. D'autant qu'à Manchester City, le manager Guardiola a déjà annoncé cette semaine que son club ne pouvait pas faire des folies lors de ce mercato hivernal. Malheureusement pour Mahrez…
Que pensez-vous de la décision de Leicester ? N'hésitez pas à réagir dans la rubrique «commentaires» ci-dessous.
