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Le TOP déclarations de la semaine - N°22
Par Thomas Naudet - Top Declarations, Mise en ligne: le 05/01/2006 à 20h28
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Au sommaire du premier numéro de l'année, les présidents de clubs vus par leurs entraîneurs, quelques réflexions sur le jeu et la démonstration faite que les footballeurs rêvent encore. Fernandez, Courbis, Lacombe, Ronaldinho, Cassano sont entre autres à l'affiche.

Durant la semaine, Maxifoot recense dix déclarations parmi les plus intéressantes, pertinentes ou originales. A ne pas manquer pour dresser un panorama légèrement décalé de l'actu de la semaine.

Un costard pour les présidents

Jean-Marc Furlan (entraîneur de l'Espérance Sportive Troyes Aube Champagne) : «Notre société a changé, elle est beaucoup moins audacieuse et conquérante. On tue les initiatives. Et le football est le miroir de la société. (…) On possède des présidents courageux et audacieux mais éduqués pour avoir des résultats à court terme.»

Luis Fernandez (manager du Betar Jérusalem) : «Peut-être les présidents ont-ils besoin d'asseoir leur notoriété sur des hommes bien dociles. Je suis quelqu'un qui peut collaborer mais j'ai aussi mes principes. J'écoutais Aulas à la radio qui disait : avec Gérard Houllier, je collabore beaucoup ; avec Paul Le Guen un peu moins. Je ne sais pas ce qu'il entend exactement par là (…). Moi, je pense que l'entraîneur doit travailler avec son propre staff technique.»

Rolland Courbis (entraîneur de l'Athletic Club Ajaccien) : «j'ai vraiment l'impression que l'an passé (…) on a gêné beaucoup de monde, même si j'ai les épaules encore toutes bleues à cause des grandes tapes amicales de mes amis présidents.»

Jeu et enjeu

Frédéric Hantz (entraîneur du Mans Union Club 72) : «Un entraîneur a deux possibilités. Il peut se mettre en tête de détruire l'adversaire, de le faire déjouer et d'adapter le jeu de son équipe pour contrer ses qualités. Ou alors il peut choisir de valoriser ses propres qualités, d'ouvrir le jeu et de mettre en valeur les qualités de l'adversaire pour tirer le niveau du match vers le haut.»

Guy Lacombe (entraîneur du Paris Saint Germain) : «Le beau jeu ça n'existe pas ! C'est pour les spectateurs, c'est pour les journalistes ! Pour nous, c'est du jeu, un jeu qui correspond à l'équipe que l'on a, qui correspond aux joueurs. Si vous voulez faire du Barcelone avec les joueurs de Paris, vous vous trompez ! Le but, c'est de faire le meilleur jeu possible avec l'équipe que vous avez. Parce que le jeu est un moyen de gagner.»

Ronaldinho (meneur de jeu du FC Barcelone et de la sélection brésilienne) : «On ne gagne avec des paroles, mais en le démontrant sur le terrain. Très souvent nos supporters estiment que la plupart de nos matchs en Liga sont une simple formalité, sans doute parce que l'on marque beaucoup de buts. Mais ces buts n'arrivent pas comme ça. On n'obtient rien sans faire des efforts, sans se battre.»

A quoi rêvent les footballeurs sages ?

Antonio Cassano (attaquant du Real Madrid) : «Le Real est la meilleure équipe du monde. C'est un club très spécial. A chaque fois que je demande : dans quel club voudrais-tu jouer ? On me répond le Real, car c'est le club qui a le plus gros potentiel. Un jour, j'ai rêvé que je jouais avec Totti au Real Madrid.»

Antonio Augusto Ribeiro Reis dit «Juninho» (milieu de terrain de l'Olympique Lyonnais) : «Si on m'assure que nous gagnerons la coupe d'Europe avec l'OL, mais pas la coupe du monde avec le Brésil, peut-être que je prends. Gagner une coupe d'Europe avec Lyon, ce serait le meilleur moyen de marquer l'histoire du club. Parfois j'en rêve, et c'est bien de rêver.»

Dont acte

Rudi Roussillon (président du FC Nantes Atlantique) : «Nous sommes victimes d'une véritable tentative de déstabilisation et ce n'est pas la première fois. La gestion du club est claire, transparente et totalement sous contrôle. Concernant la trésorerie du club, les chiffres annoncés sont totalement fantaisistes.»

Pierre Blayau (président du Paris Saint-Germain) : «Je ne suis pas une marionnette. Je travaille pour le Paris Saint-Germain et ses supporters.»

Très bonne année à toutes et à tous. A la semaine prochaine !



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