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Baromètre : la Roja en furie, Bleus Blanc rouge de colère…
Par Pierre-Damien Lacourte - Le Barometre De La Semaine, Mise en ligne: le 02/07/2012 à 23h08
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Au sommaire du baromètre Maxifoot de la semaine, la Roja en furie, Iniesta, un fantôme bien réel et Casillas, l'as des as sont les valeurs en hausse. Pour les valeurs en baisse, Bleus Blanc rouge de colère, le coup de barre du Portugal et plus vraiment une Löw story. Découvrez les faits marquants de l'actualité.

Baromètre : la Roja en furie, Bleus Blanc rouge de colère…
Une vraie démonstration de l'Espagne en finale.

Les valeurs en hausse

La Roja en furie

La Furia Roja n'a jamais autant mérité son surnom que dimanche soir. Critiquée parce que pas franchement convaincante depuis le début de l'Euro, la sélection espagnole a répondu de la meilleure des manières en finale de la compétition. En plus de s'imposer 4-0 face à l'Italie, et de réaliser un triplé historique Euro 2008, Coupe du monde 2010 et donc Euro 2012, l'Espagne a sorti une prestation incroyable. Impressionnante, la Roja restera à jamais comme l'une des meilleures équipes de tous les temps.

Iniesta, un fantôme bien réel

Le gentil fantôme ne se sera pas contenté d'effectuer quelques apparitions durant cet Euro. Excellent d'un bout à l'autre de la compétition, Andres Iniesta aura encore brillé de mille feux en finale avec une nouvelle prestation remarquable. Si David Silva, Cesc Fabregas ou encore Fernando Torres auront essuyé quelques critiques au cours de cet Euro, le Barcelonais, pourtant positionné un peu plus haut que d'habitude, aura lui fait l'unanimité. Comme souvent. Comme toujours.

Casillas, l'as des as

Il est sorti vainqueur de son duel de géants avec Gianluigi Buffon. Pendant que le dernier rempart de l'Italie encaissait quatre buts, Iker Casillas multipliait lui les arrêts à l'autre bout du terrain en finale de l'Euro. Décisif d'un bout à l'autre de la compétition, le portier espagnol a prouvé, à 31 ans, qu'il était toujours au sommet de son art. La nouvelle génération de grands gardiens (Hart, Neuer, Lloris) regardera sans doute le palmarès long comme le bras de San Iker avec envie pendant de longues années.

A part ça ? Avec Andres Iniesta, Iker Casillas et Sergio Ramos, Jordi Alba aura indiscutablement marqué cet Euro avec la sélection espagnole. Excellent sur son côté gauche, le néo-Barcelonais a marqué la finale de l'Euro de son empreinte en inscrivant un but superbe. Le Barça a un nouvel incroyable talent.

Les valeurs en baisse

Bleus Blanc rouge de colère

Le suspense a pris fin le week-end dernier. Après deux années passées à la tête de l'équipe de France, Laurent Blanc a décidé de passer la main. Pas sur la même longueur d'ondes que le président de la Fédération, Noël Le Graët, et ce pratiquement depuis le début de son mandat, le sélectionneur tricolore, également déçu d'avoir eu à gérer des affaires autre que sportives durant l'Euro, préfère arrêter là les frais. Son successeur pourrait être connu ce mardi.

Le coup de barre du Portugal

C'est finalement le Portugal qui aura posé le plus de problèmes à l'Espagne durant l'Euro. Pendant que la France s'inclinait 2-0 en quart de finale sans combattre, pendant que l'Italie prenait la marée en finale (0-4), la Selecção emmenait elle la Roja jusqu'aux tirs au but en demi-finale (0-0, 2-4 tab). Des tirs au but fatals aux Portugais avec notamment le tir sur la barre de Bruno Alves. S'ils peuvent être fiers de leurs parcours, les coéquipiers de Cristiano Ronaldo ne pourront néanmoins pas s'empêcher de nourrir pas mal de regrets.

Plus vraiment une Löw story

Avant d'affronter l'Italie en demi-finale, l'Allemagne était la favorite de beaucoup dans cet Euro. Même devant l'Espagne. Mais la Mannschaft, bousculée par une séduisante Squadra Azzurra, n'aura pas su se faire violence pour se hisser en finale de la compétition. Intouchable jusque-là, la cote de Joachim Löw en a pris un coup après cette défaite. Pointé du doigt pour des choix parfois bizarres, son coaching rarement payant et un jeu offensif parfois renié, notamment en demi-finale, le sélectionneur allemand devra très vite se racheter auprès des supporters de la Mannschaft, qui commencent à s'agacer de voir leur équipe collectionner les places d'honneur.

A part ça ? Impressionnante en quart de finale comme en demi-finale, l'Italie n'a rien pu faire en finale de l'Euro. Tombée sur plus forte qu'elle, la Squadra Azzurra quitte la compétition sur une grosse désillusion mais pourra tout de même être très fière de son parcours une fois la déception digérée.

La saison est maintenant terminée. Rendez-vous en août pour un nouveau baromètre !



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