BUTEURS

H. Diarra (83e)

AVERTISSEMENTS

K. Kouao (23e)     K. N'Doram (90+2e)

STATS DU MATCH

EQUIPES

A. Oukidja    C. Hérelle    M. Udol    (B. Tetteh, 86e) K. Kouao    Fali Candé    K. N'Doram    D. Jean Jacques    (M. Mbaye, 63e) C. Sabaly    (A. Atta, 62e) L. Camara    (S. Elisor, 63e) O. Estupiñán    (K. Van Den Kerkhof, 78e) J. Asoro

M. Sels    T. Delaine    G. Nyamsi    L. Perrin    M. Senaya    I. Doukoure    J. Deminguet (L. Mothiba, 68e)    H. Diarra    D. Bakwa (J. Mwanga, 68e)    E. Emegha (F. Guilbert, 90+5e)    Angelo Gabriel (M. Dion, 84e)

ENTRAINEURS

L. Bölöni

P. Vieira

BANCS DE TOUCHE

(entré à la 62e) A. Atta     (entré à la 63e) M. Mbaye     (entré à la 63e) S. Elisor     (entré à la 78e) K. Van Den Kerkhof     (entré à la 86e) B. Tetteh     P. Diallo     A. Lô     H. Maïga     G. Dietsch	L. Mothiba (entré à la 68e)     J. Mwanga (entré à la 68e)     M. Dion (entré à la 84e)     F. Guilbert (entré à la 90+5e)     A. Sylla     E. Sobol     K. Gameiro     S. Prcic     A. Bellaarouch
taille moyenne des titulaires (cm) : 179,6 age moyen des titulaires (ans) : 26,0	183,1 : taille moyenne des titulaires (cm) 23,4 : age moyen des titulaires (ans)

RESUME DU MATCH

Au terme d’un match très poussif, Strasbourg a pris le meilleur sur Metz (0-1), ce dimanche, lors de la 6e journée de Ligue 1.

Une belle ambiance à Saint-Symphorien... mais peu de spectacle sur la pelouse. Malgré une possession du ballon largement favorable, les Alsaciens peinaient à accélérer le rythme, seul Bakwa montrant un peu d’entrain. Une première période sans réel intérêt tant les deux équipes avaient un mal fou à se rapprocher des surfaces avec seulement 4 tirs complètement ratés pour Metz et aucune tentative pour Strasbourg à la pause.

Il fallait attendre la 70e minute pour assister à la première frappe cadrée du match signée Udol. Si Van den Kerkhof n’était pas loin de trouver Mbaye sur une passe en retrait, c’était finalement Diarra qui faisait la différence d’une frappe croisée après un bon décalage d’Ângelo (0-1, 83e). Une seule frappe cadrée qui faisait le bonheur de Patrick Vieira dont l’équipe grimpait à la 4e place après un match d’un ennui profond.