Après-match électrique dans le New Jersey, où le Paris Saint-Germain s'est lourdement incliné contre Chelsea (0-3) en finale de la Coupe du monde des clubs. Au coup de sifflet final, une altercation a notamment impliqué le gardien parisien Gianluigi Donnarumma, puis son entraîneur Luis Enrique, coupable d'un vilain geste sur l'attaquant adverse João Pedro (voir la brève d'hier à 23h22). À propos duquel il a bien évidemment été interrogé.
"Je suis idiot. Il se tient là, il me pousse, je le touche et il se jette par terre", a d'abord expliqué le technicien au micro d'une télévision espagnole, avant de se montrer plus loquace en conférence de presse : "À la fin du match, il y a eu une situation évitable. Mon intention, comme toujours, était de séparer les joueurs pour qu'il n'y ait pas d'autres problèmes. Nous aurions tous dû empêcher la situation de dégénérer. Il y avait beaucoup de tension, de pression. J'ai vu Enzo Maresca bousculer des joueurs, et d'autres le bousculer. Ce sont des situations que nous devrions tous éviter. J'ai donc séparé les joueurs", a insisté l'ancien coach du FC Barcelone.