L'histoire d'amour entre le Paris Saint-Germain et David Beckham pourrait durer plus de cinq mois. Le milieu de terrain anglais est tenté de poursuivre l'aventure dans la capitale. Mais de nombreux obstacles financiers se dressent sur la route de la signature d'un nouveau contrat.

David Beckham s'était engagé pour seulement 5 mois au PSG.

Le 31 janvier dernier, David Beckham s'engageait pour cinq mois au Paris Saint-Germain. Mais le milieu de terrain anglais pourrait bien prolonger l'aventure à Paris, où il se plaît et où, surtout, il fait l'unanimité depuis son arrivée.

Nasser Al-Khelaïfi, Leonardo, Carlo Ancelotti, ses coéquipiers, tous sont ravis de partager aujourd'hui le quotidien du Spice Boy. L'inverse est vrai également. «Jusqu'à maintenant, le mariage entre David et le PSG est très heureux. Il s'entend très bien avec ses partenaires, le staff et les propriétaires du club. Il est flatté que le club ait envie de le conserver dans l'effectif l'année prochaine», confie un proche de l'ancien Madrilène au Parisien.

Beckham n'a pas envie d'être taxé sur tous ses contrats

D'après le quotidien francilien, la direction du club de la capitale et le Spice Boy devraient très vite s'atteler à la signature d'un nouveau contrat. Malgré une forte envie de part et d'autre de continuer à travailler ensemble, les choses ne sont pas simples. Notamment d'un point de vue financier.

S'il échappe pour le moment à l'imposition française, Beckham devra s'y soumettre s'il reste plus de cinq mois sur notre territoire. La loi française prévoit que toutes les rémunérations des individus travaillant dans l'Hexagone soient taxées. L'Anglais ne voit pas d'inconvénient à être imposé sur ce qu'il perçoit en France. Mais n'aurait aucune envie, pour l'heure, de l'être pour l'ensemble de ses contrats, lesquels lui ont rapporté un peu plus de 35 millions d'euros en 2012. Le PSG va devoir trouver une solution pour contenter tout le monde.

Le PSG doit-il prolonger le contrat de Beckham ? N'hésitez pas à réagir dans la rubrique Commentaires ci-dessous.