PSG : les blessures créent une psychose dans le vestiaire !
Les nombreuses blessures connues sur ce début de saison 2025-2026 ont laissé des traces dans le vestiaire du Paris Saint-Germain. Avec l'objectif de disputer la Coupe du monde 2026, plusieurs joueurs ont peur de rater cette compétition à cause d'un pépin physique.

Depuis le début de la saison 2025-2026, le Paris Saint-Germain enchaîne les blessures. Si l'infirmerie est actuellement bien remplie avec Marquinhos, Joao Neves, Désiré Doué et Ousmane Dembélé, il faut aussi préciser que Lucas Beraldo, Fabian Ruiz, Senny Mayulu, Kang-in Lee, Khvicha Kvaratskhelia et Bradley Barcola ont également connu des alertes.
Et après la victoire face à l'AJ Auxerre (2-0) samedi en Ligue 1, le PSG attend les résultats des examens médicaux de Vitinha et de Kvaratskhelia, touchés.
Une peur de la blessure en interne...
Selon les informations de L'Equipe ce lundi, l'international portugais a simplement ressenti une gêne musculaire contre l'AJA. Dans la crainte d'aggraver son cas et de subir une lésion en insistant sur le terrain, l'ex-talent du FC Porto a préféré céder sa place. Toujours d'après le quotidien sportif, le cas Vitinha témoigne «d'une forme de psychose» au sein du vestiaire francilien après la multiplication des pépins physiques depuis le coup d'envoi de cette saison.
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Avec la Coupe du monde 2026 dans le viseur, les Parisiens refusent de prendre des risques et cherchent à éviter une blessure importante. Mis au courant de cette peur, l'entraîneur du PSG Luis Enrique et son staff se veulent à l'écoute des sensations des joueurs et ne comptent pas les forcer à jouer. Le technicien espagnol souhaite prendre toutes les précautions nécessaires et n'hésite pas à mettre en place un turnover au sein de son équipe.
Des joueurs qui s'écoutent beaucoup ?
Pour autant, en interne, il y a aussi une forme de fatalisme. «Parfois, les blessures musculaires sont comme les virus. Tu regardes les autres, et si tu éternues, tu penses aussi que tu es malade», a soufflé un membre du PSG. Pour Paris, qui n'a pas eu la moindre préparation estivale après la Coupe du monde des Clubs cet été, la gestion physique de cet exercice s'annonce décisive et particulièrement délicate.
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