Les cookies nous permettent de personnaliser le contenu et les annonces, d'offrir des fonctionnalités relatives aux médias sociaux et d'analyser notre trafic. Nous partageons également des informations sur l'utilisation de notre site avec nos partenaires de médias sociaux, de publicité et d'analyse.
En savoir plus OK

Montpellier : les vérités de Sakho sur sa chaude altercation avec Der Zakarian !

Par Romain Rigaux - Actu Ligue 1, Mise en ligne: le 29/09/2024 à 14h17
Taille du texte: Email Imprimer Tweet

Près d'un an après son accrochage avec Michel Der Zakarian, son ancien entraîneur à Montpellier, Mamadou Sakho est revenu pour le première fois sur cet incident. L'ex-Montpelliérain tenait à donner sa version des faits.

Montpellier : les vérités de Sakho sur sa chaude altercation avec Der Zakarian !
Sakho a évolué à Montpellier de juillet 2021 à novembre 2023.

A 34 ans, Mamadou Sakho évolue désormais au Torpedo Kutaisi, en Géorgie. Loin de la France où sa dernière expérience s'est terminée en eau de boudin, avec un départ en novembre dernier de Montpellier après une altercation avec son entraîneur de l'époque Michel Der Zakarian.

Sakho règle ses comptes

Près d'un an après la rupture de son contrat avec le MHSC, le Français est revenu sur cet épisode houleux dans l'émission J-1 sur Canal+ Sport Afrique. L'ancien international tricolore a d'abord annoncé qu'il allait porter plainte contre les journalistes Hugo Guillemet et Mohamed Toubache-Ter pour avoir, selon lui, sorti de fausses informations sur cet accrochage avec le technicien.

«Ces deux personnes, je vais porter plainte contre elles pour diffamation, parce qu'elles ont propagé un message qui n'était pas la réalité. Ils ont écrit que j'avais mis une balayette à mon coach. J'ai 34 ans, 4 enfants, personne ne va salir ma réputation, surtout quand c'est faux» , a commencé l'ex-Parisien. Mais que s'est-il vraiment passé ?

Un entraînement sous tension

Sakho a longuement révélé les détails de son altercation avec Der Zakarian. «Ce qu'il s'est passé, c'est qu'on a perdu contre Nantes (0-2), l'ancienne équipe du coach. Je n'ai pas joué ce match, je ne jouais plus trop pour d'autres raisons. Le coach est arrivé, énervé, à l'entraînement : il montre la vidéo, se prend la tête avec deux ou trois joueurs et fait des réflexions assez dures… Je comprends, on avait perdu. Mais il laisse l'entraînement se dérouler sans arbitrage. Il y a même un joueur qui a pris le ballon et shooté en l'air pour dire : "mais c'est quoi cet entraînement qui part en vrille". Voilà le contexte» , explique-t-il.

Et l'entraînement se termine mal. «A deux minutes de la fin de l'entraînement, il y a une faute sur moi et je ne vois pas de réactions des dirigeants et du staff, poursuit-il. De rage, au lieu de lancer une insulte, je respire un bon coup et, comme il reste deux minutes, je rentre au vestiaire pour éviter le conflit. (…) Le coach vient me voir et me demande : "est-ce que tu as mal quelque part, on a vu que tu es sorti de l'entraînement ?". Je réponds : "non, coach, tranquille". Il me dit : "de toute façon, vous faites comme vous voulez, comme en match".»

Le ton monte entre les deux hommes

Alors qu'il ne joue pas, le joueur ne comprend pas la remarque : «Je me tourne et lui dis : "mais de quel match vous parlez ? Si vous avez des choses à dire à des joueurs qui jouent, allez leur dire en face. Moi, je ne joue pas…" Il part dans la salle des kinés et, de ce qu'on me rapporte, il dit : "si tu n'es pas content, tu rentres chez toi". Moi, je l'entends juste parler. Je rentre dans la salle, sans insulte, sans manque de respect, mais la tension et le ton étaient là, je ne vais pas faire le petit agneau. Je lui dis que s'il a un truc à me dire, il me le dit en face.»

Une réflexion qui, selon Sakho, a fait sortir «MDZ» de ses gonds. «A ce moment-là, le coach se tourne, vient vers moi de manière hystérique : "Quoi ? Je n'ai pas peur de toi !" Il se met front contre front, et me pousse au niveau du torse, raconte-t-il. Je dis : "Ah ! En plus, tu me pousses ?" On s'attrape par le col et je dis : "tu ne lèves pas la main sur moi, je ne suis pas votre fils". Je suis resté stoïque et choqué de la scène, mais avec une rage en moi dans mon bras.» La tension est maximale et des joueurs tentent d'intervenir pour calmer la situation.

«Huit joueurs essaient de retirer mon bras, sans réussir, se souvient Sakho. J'avais une force que je ne maitrisais pas, mais sans geste de manque de respect. Quand je décide de le lâcher et d'ouvrir ma main, comme il y avait les joueurs qui tentaient de nous séparer, la force des gens qui poussaient a fait que le coach est tombé. Voilà ce qui s'est passé de A à Z.» Sakho assure donc ne jamais avoir mis cette fameuse «balayette» à son coach. «J'ai pris le temps, mais je me suis dit qu'il fallait nettoyer mon nom» , a conclu le joueur formé au PSG.

Que vous inspirent les propos de Sakho ? N'hésitez pas à réagir et débattre dans la zone «Ajouter un commentaire» …







Publiez un commentaire avec votre compte Facebook, Yahoo, Hotmail ou AOL   AIDE
Pour signaler un abus, contactez
Ajouter un commentaire ... Les insultes sont passibles d'une amende de 12.000€ et jusqu'à 45.000€ pour les injures racistes, homophobe, handiphobe ou sexiste. N'oubliez pas que vos messages ici sont publics et qu'en cas de plainte votre identité réelle peut être révélée à la justice.
Pour afficher les commentaires Facebook, vous devez être connecté à Facebook



 
 

Liens FRANCE - Ligue 1


Ligue 1 - les fiches CLUB

Sondage Maxifoot
A quel rang placez-vous Antoine Griezmann dans la hiérarchie des joueurs de l'histoire de l'équipe de France ?

Dans le TOP 3
Dans le TOP 5
Dans le TOP 10
Il y a eu beaucoup plus de joueurs supérieurs à lui
Voter

Voir les resultats - Voir les sondages précédents

Actu et transferts 24h/24

Les + populaires du moment


Ça a fait le buzz depuis 7 jours


 A SUIVRE
L'EQUIPE TYPE
EURO
2024
Classements des
BUTEURS

en EUROPE
Indice MF :

l'état de
FORME
des clubs en europe
Les FRANCAIS à

l'ETRANGER
Qui joue ?
Qui marque ?


MASQUER LA PUB