Monaco : le cas Fati suscite bien des crispations...
En difficulté depuis la nomination de l'entraîneur Sébastien Pocognoli en octobre, l'ailier Ansu Fati, prêté par le FC Barcelone, devrait finir la saison à l'AS Monaco. Par contre, l'Espagnol a bel et bien agacé en interne par rapport à son manque d'investissement au quotidien.

En l'espace de quelques mois, Ansu Fati est passé par toutes les émotions à l'AS Monaco. Prêté avec une option d'achat fixée à 11 millions d'euros par le FC Barcelone l'été dernier, l'Espagnol a bénéficié d'une préparation adaptée jusqu'en septembre avant de réaliser des débuts canons : 6 buts en 4 matchs toutes compétitions confondues.
Mais depuis la nomination de l'entraîneur Sébastien Pocognoli en octobre, l'ailier de 23 ans a connu de grosses difficultés : 0 but et 0 passe décisive en 9 apparitions toutes compétitions confondues.
Fati devrait bien rester, mais...
Désormais remplaçant sous les ordres du technicien belge, Fati a récemment fait l'objet d'une rumeur concernant la fin anticipée de son prêt dès cet hiver. Mais selon les informations du quotidien L'Équipe ce mardi, l'Ibère devrait poursuivre cette saison 2025-2026 sous les couleurs monégasques.
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Limité sur le plan financier en janvier, le club de la Principauté a connu un énorme coup dur avec la sérieuse blessure de Takumi Minamino et n'est donc pas dans l'optique de se séparer d'une option offensive comme Fati. Par contre, le natif de Bissau va bel et bien devoir se reprendre...
Un investissement à revoir
Pourquoi ? Car en interne, l'ex-joueur de Brighton suscite des crispations par rapport à son manque d'investissement au quotidien ! À plusieurs reprises, Fati a été directement visé par les reproches de ses coéquipiers, à l'image de la sortie du défenseur central Mohammed Salisu après le nul face au Pafos FC (2-2) en Ligue des Champions fin novembre.
«Nous avons besoin d'avoir des joueurs qui ont la bonne mentalité. Ce qui veut dire qu'on n'abandonne pas jusqu'à la 90e minute. C'est ce qui nous manque pour finir les actions. Parce qu'en défense, ça se passe bien. On court, on s'aide les uns les autres mais devant, ce n'est pas le cas. C'est un peu difficile», avait lancé le Ghanéen. Et Fati était donc bel et bien ciblé...
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