Manchester City : ce qui a dérangé Guardiola à Madrid
A l'issue d'un match spectaculaire, le Real Madrid et Manchester City se sont quittés bons amis (3-3), mardi, en quart de finale aller de la Ligue des Champions. S'il s'est dit impressionné par le Santiago Bernabéu, que ce soit pour son ambiance ou sa nouvelle architecture, l'entraîneur du club anglais, Pep Guardiola, a été moins fan de la pelouse.
Un spectacle exceptionnel. Au terme d'une rencontre très animée, le Real Madrid et Manchester City se sont quittés bons amis (3-3), mardi, en quart de finale aller de la Ligue des Champions.
Une partie que les Skyblues auraient pu remporter après avoir retourné la situation en milieu de seconde période grâce à sa maîtrise technique avant d'être surpris par une reprise de volée sensationnelle du joueur du Real Federico Valverde.
La pelouse a déçu Guardiola
A l'issue de la rencontre, Pep Guardiola a félicité tous les acteurs qui ont participé à cette fête. En revanche, il a eu beaucoup plus de mal à accepter l'état plus que moyen de la pelouse pour un tel rendez-vous. «Le toit ? Moi, je préfère voir le ciel. La vérité est que le stade est impressionnant. Maintenant, il ne leur reste plus qu'à prendre soin de la pelouse, il ne leur manque plus qu'à l'améliorer» , a glissé le manager catalan face aux journalistes.
«La prochaine étape dont Florentino (Pérez) doit se soucier est de constituer un bon terrain, une belle pelouse, comme le Real l'a toujours fait auparavant» , a insisté Guardiola, qui sous-entend que son équipe, sans Kevin De Bruyne, malade et resté sur le banc, n'a pas pu déployer son jeu habituel sur une telle surface. «Je n'y ai pas mis les pieds personnellement, mais c'est ce que les joueurs m'ont dit» , a poursuivi l'ancien coach du FC Barcelone.
P. Guardiola – «je suis sûr qu'ils vont régler le problème»
«Que le président ne le prenne pas mal mais ne laissez pas les gens prendre ce problème à la légère dans le mauvais sens. Le stade est spectaculaire, les vestiaires également. C'est un travail impressionnant. Je me souviens que le Real a toujours eu une pelouse incroyable, un véritable tapis. Et aujourd'hui, ce n'était pas comme ça, mais je suis sûr qu'ils vont régler le problème» , a rajouté Guardiola, qui ne s'est pas imposé au Bernabéu depuis sa visite en février 2020 (1-2).
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