PSG : Nasser tacle le Barça, Tebas le reprend de volée
Deux semaines après ses critiques envers le fonctionnement du FC Barcelone, Nasser Al Khelaïfi a adressé une nouvelle pique au club catalan ce vendredi lors d'une assemblée générale de l'Association européenne des clubs (ECA). Une sortie du président du Paris Saint-Germain peu appréciée par le patron de la Liga, Javier Tebas.
Nasser Al Khelaïfi ne lâche pas le FC Barcelone. En froid avec le club catalan depuis le transfert de Neymar, en août 2017, le président du Paris Saint-Germain ne manque jamais une occasion de piquer le vice-champion d'Espagne. Deux semaines après une nouvelle sortie pour rabaisser les Blaugrana, le dirigeant qatari en a remis une couche ce vendredi.
Nasser s'en prend encore au Barça
A l'occasion d'une assemblée générale de l'Association européenne des clubs (ECA), dont il est président, le boss de l'écurie parisienne a encore pris le rival barcelonais à partie. «Les nouvelles règles de viabilité financière sont une évolution positive. Les règles contrôlent les coûts. Ils encouragent l'investissement et les nouveaux investisseurs. Ils contribueront à assurer la pérennité du football. Mais nous devons être prudents. Les niveaux d'endettement dangereux et l'injection magique de capitaux ne sont pas une voie durable. Nous devons penser à long terme, pas à court terme» , a alerté l'homme d'affaires.
La réponse de Tebas
S'il ne le cite à aucun moment, le Barça peut légitimement se sentir visé. En effet, la formation dirigée par Xavi a largement animé le dernier mercato estival grâce à différents leviers économiques (ventes de droits TV et de sociétés annexes) qui ont fait parler. Preuve que le pensionnaire du Camp Nou est la principale cible de son discours, Javier Tebas n'a lui aussi pas raté l'occasion de reprendre NAK. «Il n'y a pas de magie. Le FC Barcelone a vendu une partie de ses actifs pour couvrir ses pertes. Au PSG, à la place, vous ouvrez le robinet à pétrole. Pour un football durable, la première chose est de payer ce qui est dû, NON ?» , a lâché le dirigeant espagnol sur Twitter. Une passe d'armes qui dure... et qui va durer.
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