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L'Equipe type de L1 - mi-saison 2007/2008 (2/2)
Par Marc Lepannetier - L'equipe Type De L1, Mise en ligne: le 06/01/2008 à 17h45
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A la mi-saison 2007/2008 des joueurs ont confirmé leur talent, d'autres se sont révélés. Cette semaine, Maxifoot vous dévoile l'équipe type des matches aller !

L'Equipe type de L1 - mi-saison 2007/2008 (2/2)

Après chaque journée de championnat, Maxifoot a composé son équipe type. Le meilleur "onze" et sept remplaçants ont été choisis selon leurs performances. Un joueur présent dans l'équipe type a reçu trois points, celui qui était sur le banc un point. A la fin des matches aller et au regard de ces résultats, en tenant compte de la complémentarité des joueurs, voici «L'équipe type des matches aller de la saison 2007-2008» réalisée par Maxifoot.

Équipe type des matches aller :

Remplaçants

12. Sammy Traoré (Auxerre)
13. Marc Planus (Bordeaux)
14. Fabrice Abriel (Lorient)
15. Hatem Ben Arfa (Lyon)
16. Kim (Nancy)
17. Tulio De Melo (Le Mans)
18. Hugo Lloris (Nice)

En détails...

Steve Mandanda (22 ans, Marseille)

Le temps de la regrettable blessure de Carrasso, l'Espoir a pris sa place pour confirmer l'étendue de son talent. Sa formidable entrée en matière à Caen avec à la clef la première victoire à l'extérieur de l'OM a de suite rasséréné ses coéquipiers. Ses qualités de détente, de réflexe et son assurance dans le jeu aérien ont conquis le Vélodrome et plus encore. En témoigne son nom régulièrement évoqué pour être l'éventuel troisième gardien lors du prochain Euro 2008. En l'absence de Coupet, blessé, il a été le gardien le plus sûr de la L1. Sans conteste et tout comme Lloris, il peut rêver à un avenir en Bleus.

Rod Fanni (26 ans, Rennes)

Rennes a mis le prix pour l'arracher à Nice mais il ne peut le regretter. A l'instar des supporters Rouge et Noir pour qui ses magnifiques prestations du début de saison ont rapidement fait oublier le départ de Melchiot. Par la grâce de sa vitesse, sa vivacité, sa technique et son audace offensive, il a mis à mal tous ses adversaires directs lors des douze premières journées. Alors que l'équipe a subitement enchaîné les défaites, il a forcément été moins à son avantage. Malgré tout, il est la révélation à ce poste et il a amplement mérité notre attention particulière.

Sébastien Puygrenier (25 ans, Nancy)

Plus qu'un roc, il est en passe de devenir une montagne ! Comme toujours, ou presque, c'est avant tout par lui que l'édifice nancéien s'est montré intraitable en étant le leader de la première défense de L1 avec 11 buts encaissés. Impeccable dans les airs comme au sol, ses interventions et ses anticipations ont régulièrement mis fin aux embryons d'occasions des adversaires. D'un premier abord frustre, il est en fait idéalement sobre. Sans fioriture quand il le faut, il s'est grandement amélioré dans sa relance. De plus, il en impose très souvent dans les duels offensifs. Il est notamment l'auteur de 2 buts. Concentré, incontournable physiquement, sa présence est inévitable. Une nouvelle fois, il est ici logiquement récompensé.

Sébastien Squillaci (27 ans, Lyon)

Orphelin de Cris pendant que Anderson a souffert de la comparaison, il a accumulé les matches sans faiblir. Avec expérience et application, il a dicté sa relance et a rassuré ses coéquipiers par la sûreté de son placement et de ses interventions. Sa robustesse défensive a permis à Lyon de tenir son rang dans l'axe malgré un nombre de buts encaissés plus important que les saisons passées. En attendant le retour de Cris, il est à espérer qu'il soit encore mieux épaulé pour que l'OL puisse tutoyer son rêve ultime sur la grande scène européenne...

Jérémy Morel (23 ans, Lorient)

Revenu à son meilleur niveau physique au cours de cette première moitié de la saison, il n'a alors cessé d'apporter sa différence. Si les Merlus ont dernièrement retrouvé du jus c'est parce qu'il en a été un brillant aperçu. Tonique et athlétique, il a été l'auteur de quelques montées rageuses. Avec vélocité et volonté, il est souvent revenu sauver des situations dangereuses dans sa surface. Habile balle aux pieds, il est à l'origine d'un grand nombre de relances adroites. Sur son côté gauche, sa cote ne cesse de grimper et son avenir est à l'avenant.

Jérémy Toulalan (24 ans, Lyon)

Dès le début de la saison, au sein d'un Lyon pas encore souverain, il s'est battu pour soulager son équipe. Vainqueur de la plupart de ses duels, toujours bien placé et adroit à la relance, il n'a jamais ménagé sa peine pour harceler le porteur du ballon. Fabio Santos a eu beau le remplacer efficacement, il est revenu encore plus fort après sa blessure.

N'Dri Romaric (24 ans, Le Mans)

Capitaine et maître à jouer de son équipe, l'Ivoirien a toujours eu les yeux bienveillants pour servir au mieux les siens. Il a très souvent montré la direction à suivre, du geste et de la voix. Par sa puissance physique, il s'est régulièrement imposé dans les duels et par sa technique, il a grandement facilité la relance mancelle. Avec un atout majeur, sa grande force de frappe sur les coups de pied arrêtés (2 buts) il est aussi à l'origine de nombreuses réalisations pour De Melo et ses coéquipiers. Avec lui à la baguette, Le Mans s'est installé pour casser une croûte en haut du Championnat ! A cause de la CAN, l'appétit des Sarthois sera malheureusement sevré de ses services...

Juninho Pernambucano (32 ans, Lyon)

Après avoir mal vécu l'échec européen de la saison dernière, le meneur de Lyon a d'abord semblé un peu étranger au destin de ses matches. Puis son esprit de compétiteur et ses coups de patte ravageurs se sont mis en branle pour arracher une victoire exaltante face au Mans. A partir de cet exploit, Lyon avait retrouvé son Juni. Pour preuve, il a ensuite marqué un coup franc ! Son exercice préféré qui n'avait plus été gagnant depuis près de six mois. En bon capitaine, il a montré la voie en étant à l'origine des trois buts lors de l'importante victoire à Bordeaux. Avec un Juninho aussi décisif c'est Lyon qui demeure intouchable. Sur le terrain comme dans les statistiques (6 buts et 3 passes décisives), son omniprésence est incontestable dans toutes les grandes performances de l'OL.

Johan Elmander (26 ans, Toulouse)

Bienheureux sont les Toulousains de compter sans cesse sur sa seule volonté, ou presque, de les faire gagner. La remarque peut apparaître sempiternelle mais elle est bien réelle, sans lui les Violets seraient plutôt inoffensifs ! Avec sa grande combativité, ses appels incessants et sa technique en mouvement, il a plusieurs fois donné la victoire aux siens (10 buts). « C'est vrai qu'il est en super forme. Il est là pour marquer, mais en ce moment il le fait bien » , avait récemment avoué Elie Baup alors que le Suédois venait de marquer 7 buts en 4 matches. Une évidente façon de reconnaître qu'il comptait bien dans son équipe sur l'un des seuls grands attaquants de la L1 !

Karim Benzema (20 ans, Lyon)

A seulement 20 ans, il est en passe de s'imposer comme le buteur de l'OL ! Son talent unique est désormais indiscutable. Auteur d'un Premier triplé face à Metz, son association à la pointe de l'attaque avec son compère de promotion Ben Arfa a provoqué de nettes différences. Mais c'est avant tout grâce à son intelligence dans ses déplacements et sa qualité technique qu'il a concrétisé les actions lyonnaises. Avec onze buts en onze matches, l'international a rapidement confirmé qu'il était déjà un joueur majeur de notre championnat. Même sur une aile, il a toujours trouvé le moyen de s'illustrer par quelques dribbles inventés. En enchantant l'année de ses vingt ans, il semble promis à combler la faim de Lyon pour encore longtemps !

Mamadou Niang (28 ans, Marseille)

Il est l'auteur d'un magnifique match à Lyon où il a fait gagner l'OM en compagnie de Mandanda ! A l'image de cette rencontre, il a régulièrement accumulé les courses et les différences balles au pied pour permettre à son équipe de l'emporter. A la régulière, il a pris la place de Cissé et s'est permis d'inscrire huit buts sur les huit derniers matches. Déclencheur de toutes les belles envolées olympiennes depuis le début de la saison, il a marqué dix fois et il est désormais le meilleur buteur marseillais sur les dix dernières saisons. Toutes compétitions confondues, il a inscrit 41 buts en deux ans et demi. Malheureusement pour les Phocéens, ils devront commencer l'année sans lui puisqu'il sera avec l'équipe nationale du Sénégal pour disputer la CAN.

Les remplaçants :

12. L'ancien Parisien Sammy Traoré a brillamment relevé le challenge auxerrois. En un rien de temps, en plus de devenir l'animateur des vestiaires, il a pleinement endossé le rôle de leader sur le terrain. Au sein d'une défense à cinq, il s'est imposé dans chacune de ses interventions grâce à un placement et des gestes appropriés. Avec l'aide de son géant aux chaussures jaunes, petit à petit, l'AJA est remonté des profondeurs du classement et s'est un peu éloigné de la zone rouge.
13. Le Bordelais Marc Planus a encore montré ce qu'il sait parfaitement faire. De tacles glissés en relances assurées, il a réédité des matches exemplaires. Celui qui a toujours joué comme un vieux briscard sera un élément essentiel pour que Bordeaux puisse atteindre une qualification espérée pour la Ligue des Champions.
14. Le Lorientais Fabrice Abriel, joueur au talent trop méconnu, a été un grand acteur du superbe début de saison des Merlus. Volontaire, technique et plein d'allant offensif, son jeu en mouvement et ses transmissions à l'avenant font de lui le maître à jouer de Lorient. Il est aussi précieux au pressing et à la récupération qu'à la relance.
15. Le Lyonnais Hatem Ben Arfa, naguère un peu trop chien fou, avait manqué jusqu'ici de maturité. Mais quand il enchaîne les provocations ses adversaires peuvent perdre à tout moment leur sens de l'orientation (4 buts et 4 passes décisives). Avec Benzema, il a semblé parfois s'amuser tel un junior dans une cour d'école. Il y a même gagné ses galons avec les Bleus.
16. Le Nancéien Kim, tout en vitesse et en technicité, s'est souvent joué de ses adversaires. Son but à Monaco restera comme l'un des plus beaux. Le Brésilien a provoqué quelques grosses différences et, fait nouveau, a gagné en efficacité (6 buts). Il a régalé les spectateurs et ses partenaires face à Lyon. Même le président Aulas a fini par avouer : « il est le bienvenu à Lyon... »
17. Le Manceau Tulio De Melo, après une saison dernière gâchée par une longue blessure au genou, a repris le chemin des buts. D'entrée, il a placé sa stature en haut du classement des buteurs en inscrivant un coup du chapeau lors de son premier match ! A l'aide de son physique avantageux, de sa grande capacité à garder le ballon et et de son jeu en remise, il s'est brillamment acquis de sa mission de pointe esseulée (10 buts).
18. Le Niçois Hugo Lloris, malgré deux mois d'absence, a réalisé quelques parties gagnantes. Auteur de magnifiques envolées et de parades hautement décisives, il a singulièrement contribué à faire de Nice une équipe imbattable à domicile et en L1 depuis huit rencontres. Avec Mandanda, il est le grand espoir français à son poste et un argument d'une plus haute destinée pour permettre aux Aiglons de prolonger leurs invincibilités.

Ils ont failli être intégré dans l'équipe type : Les Lyonnais Clerc et Réveillère pour leur conjointe expérience au plus haut niveau au poste de latéral droit. De l'autre côté, le Niçois Rool et le Nancéien Biancalani pour leur volonté jamais prise en défaut et leur précieuse frappe de gaucher. Les milieux défensifs Cana pour l'OM et Bérenguer pour Nancy sont à louer pour leur immense activité. Sur les flancs, le Bordelais Wendel (6 buts), le Rennais Leroy (3 buts et 5 passes) et le Lillois Lichtsteiner (2 buts) ont été extrêmement précieux dans le jeu et souvent décisifs. Plus haut, le Lyonnais Govou et le Nancéien Hadji ont effectué une très belle moitié de saison avec 4 buts chacun. Le Marseillais Nasri a été trop handicapé par les blessures pour figurer dans l'équipe-type alors qu'il en a bien évidemment la valeur intrinsèque. Son coéquipier Valbuena, avec et sans lui, a eu une influence presque aussi majeure pour l'équipe. Le Bordelais Bellion (10 buts) a démontré que son passage à MU n'était pas une incongruité. Une mention particulière également au Valenciennois Savidan, au Caennais Gouffran, au Niçois Koné et au Lorientais Saïfi qui ont tous été des éléments essentiels dans le bon parcours de leur équipe.

C'était L'équipe type des matches aller de la saison 2007/2008. La semaine prochaine, vous retrouverez l'équipe type de la vingtième journée et son classement !



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