PSG : Cabaye hésite à partir, Newcastle se positionne déjà pour le récupérer !

Cantonné à un rôle de remplaçant, Yohan Cabaye songe à quitter le Paris Saint-Germain cet été, à un an de l'Euro 2016. Newcastle rêve déjà de récupérer son ancien joueur, qui s'était imposé comme l'un des meilleurs milieux de terrain d'Angleterre durant son passage chez les Magpies.

Newcastle est déjà prêt à récupérer Yohan Cabaye.

«C'est un moment particulier de ma carrière, je n'ai jamais vécu ça. Il faut l'accepter, mais ça ne veut pas dire qu'on ne fait rien pour changer la situation. L'Euro sera un critère important, je vais en parler avec le sélectionneur, avec mes représentants et voir avec le club ce qu'il faut faire. On va bien réfléchir car ça sera une décision importante à prendre.»

Sur Canal+ dimanche soir, Yohan Cabaye (29 ans) ne cachait pas s'interroger sérieusement sur son avenir au Paris Saint-Germain. Le milieu de terrain craint de rater l'Euro 2016 s'il reste une saison supplémentaire chez les champions de France où il est cantonné à un rôle de remplaçant depuis son arrivée en janvier 2014 en provenance de Newcastle.

En terrain conquis à Newcastle...

Newcastle, justement, serait déjà sur le coup pour récupérer son ancien milieu de terrain, annonce le Sun ce mardi. Avant de se perdre à Paris, l'ancien Lillois s'était imposé comme l'un des meilleurs joueurs à son poste en Angleterre lors de son passage chez les Magpies (août 2011-janvier 2014). Les dirigeants anglais ne l'ont pas oublié. L'international tricolore doit s'en souvenir aussi...

Nul doute que d'ici quelques semaines, d'autres clubs, et sans doute plus huppés que Newcastle, seulement 15e de Premier League aujourd'hui, viendront aussi aux renseignements. Mais dans le nord de l'Angleterre, Cabaye reviendrait en terrain conquis avec quasiment l'assurance de retrouver une place de titulaire et ainsi mettre toutes les chances de son côté pour disputer l'Euro 2016 en France.

Que pensez-vous du cas Cabaye ? Un retour à Newcastle serait-il une bonne option pour lui ? N'hésitez pas à réagir dans la rubrique «commentaires» ci-dessous.