Le petit accrochage entre Antoine Kombouaré et Apoula Edel semble déjà oublié. Une bonne nouvelle pour le Paris Saint-Germain qui va pouvoir continuer de travailler dans la sérénité. Le gardien parisien est revenu sur sa mésentente avec Sylvain Armand et fait la lumière sur le fameux mot «laisse» , que personne ne reconnaissait avoir prononcé.

Edel n'est pas le seul fautif sur le but de Tabanou

Le Paris Saint-Germain ne voulait pas revivre les turbulences de janvier après le clash entre Antoine Kombouaré et Stéphane Sessègnon. Alors quand l'accrochage verbal entre l'entraîneur parisien et Apoula Edel (lire ici), après la victoire face à Toulouse (2-1), a commencé à prendre de l'ampleur, le club de la capitale n'a pas tardé à réagir et les deux hommes se sont rapidement expliqués sur cet épisode déjà oublié.

A. Edel - «c'est juste un malentendu»

En conférence de presse, Kombouaré a expliqué avoir remis son gardien en place et avoir accepté ses excuses. Edel s'est donc comporté en professionnel et n'a visiblement pas souhaité envenimer la situation, alors qu'il attend toujours une prolongation de son contrat. «L'important n'est pas ce qui s'est dit entre le coach et moi, mais ce qu'il en ressort. Nous nous sommes pris un peu la tête, mais c'est passé. J'ai confiance en lui, et lui a confiance en moi. (...) L'affaire est close et je pense au match de mercredi.»

Le natif de Yaoundé avait fait comprendre à son coach qu'il n'avait pas apprécié de porter seul le chapeau après le but encaissé suite à une mésentente avec Sylvain Armand. Le défenseur du PSG avait indiqué avoir entendu «laisse» , une information confirmée par Franck Tabanou, mais personne ne reconnaissait avoir prononcé ce mot. Si le Toulousain soupçonnait Christophe Jallet, ce dernier avait rapidement démenti. Edel a finalement mis fin au mystère. «Sur le but toulousain, je dis «ça vient» à Sylvain, et il entend «laisse». C'est juste un malentendu.» L'affaire est définitivement close.