Promis à une place de titulaire dans le couloir droit cet été, Stéphane Sessègnon passe finalement son temps sur le banc du Paris Saint-Germain depuis le début de l'exercice 2010-2011. Le Béninois paie la seconde jeunesse de Giuly et pourrait avoir des envies d'ailleurs. Le Parisien conserve en tout cas une belle cote en Premier League.

Relégué sur le banc du Paris Saint-Germain, Stéphane Sessègnon vit un exercice 2010-2011 compliqué. Si ses prestations sont un peu plus convaincantes ces dernières semaines, le milieu offensif parisien devrait continuer à cirer le banc cette saison. Visiblement, le Béninois peine à se remettre de la jeunesse retrouvée de Ludovic Giuly dans le couloir droit. Titularisé à seulement quatre reprises en championnat, l'ancien Manceau se pose des questions et pourrait être tenté d'aller voir rapidement ailleurs.

Arsenal, Liverpool et Tottenham sur Sessègnon

«Pour l'instant, on ne peut rien dire, ni s'il va rester, ou s'il va partir, car on n'en sait rien. Mais une chose est sûre, un départ est possible. Et si c'était le cas, la meilleure option reste la Premier League, c'est là-bas qu'il veut jouer», a indiqué son agent. Souvent pisté par des clubs anglais ces dernières années, le Parisien ne semble pas payer son faible temps de jeu puisque de nombreuses formations seraient toujours intéressées. Selon le journal anglais Sport, Arsenal, Liverpool, Tottenham, Everton et West Ham suivraient de près le natif d'Allahe.

Déjà sur ce dossier cet été, les Hammers attendraient un signe du joueur et du club parisien pour faire une offre. Selon le média britannique, les Spurs auraient tout de même une longueur d'avance et auraient déjà sondé les dirigeants du club de la capitale. Aucun montant concernant de possibles offres n'a été communiqué pour le moment. Vu son effectif assez restreint, le PSG devrait tout de même attendre la fin de la saison avant d'offrir un bon de sortie à Sessègnon, qui aura encore du temps de jeu avec les coupes nationales et l'Europa League. A moins qu'une offre importante arrive en janvier sur le bureau des dirigeants franciliens.

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