Après nous avoir fait partager sa passion pour le ballon rond, Eric Bauthéac a accepté de nous ouvrir les portes de sa vie privée. Avec beaucoup d'humour et de franchise, le milieu de terrain niçois n'a pas hésité à nous faire partager son intimité au cours de la seconde partie de l'entretien.

Régulièrement, retrouvez sur Maxifoot des interviews surprenantes et décapantes des principaux acteurs du foot où vous apprendrez tout sur leur vie hors des pelouses du championnat. Les interviews que l'on appelle les «36 de Maxifoot» sont découpées en deux parties : côté terrain, et côté vie privée.

A 25 ans, Eric Bauthéac s'est rapidement imposé à l'OGC Nice, où Claude Puel compte beaucoup sur lui. Formé à Saint-Etienne, le milieu de terrain offensif ne se voit pas proposer de contrat professionnel et décide alors de tenter l'aventure en 2007 à Cannes, en National. Après trois saisons réussies, le n°11 des Aiglons prend la direction de Dijon, en Ligue 2, avec lequel il accède parmi l'élite une saison plus tard. Le DFCO de retour à l'étage inférieur en fin de saison dernière, Eric Bauthéac, sollicité par plusieurs clubs, décide de s'engager pour trois ans avec le Gym.

Qu'est-ce que tu fais en général après un match ?

Je vais jouer à la Play chez Jérémy Pied. D'abord, on regarde les résumés des autres matchs. Et après comme on ne dort pas, on joue à la Play.

Hormis le football, tu as une passion dans la vie ?

Oui, la pétanque, la pêche… Et quand Jérémy Pied te dit qu'il est passionné par ça aussi, il oublie de te dire qu'il ne connaissait pas tout ça avant de me rencontrer ! (rires) C'est grâce à moi s'il a d'autres activités que le foot ! (rires) (Pour lire ou relire l'interview de Jérémy Pied, cliquez ici)

Tu écoutes quoi comme musique ?

De tout, ça va du rap à la variété française, en passant par le RnB. C'est assez varié ce que j'écoute.

Twitter ou Facebook ?

Les deux. Je passe pas mal de temps sur les réseaux sociaux, pour communiquer avec les supporters qui nous suivent notamment.

Tu regardes quoi à la télévision ?

Des séries. C'est surtout ça.

Quel est ton petit pêché mignon en nourriture ?

Ma femme cuisine très bien, je me régale avec tous les bons petits plats qu'elle peut faire, mais les pâtes à la carbonara, c'est peut-être ce que je préfère.

Tu es superstitieux ?

Non, rien de spécial.

Quelle est la plus grosse bêtise que tu ais faite étant gamin ?

Rien de très grave. J'ai dû faire quelques petites bêtises comme tous les gamins, mais rien de bien méchant. Je n'étais pas un délinquant. (rires)

Si tu n'avais pas été footballeur, quel métier aurais-tu exercé ?

Pompier. J'adore ce métier. J'ai beaucoup de respect pour eux.

Quelle est la personnalité la plus connue de ton répertoire téléphonique ?

Claude Puel, notre entraîneur.

Quelle est l'insulte qui t'échappe le plus souvent ?

Putain ! Merde aussi. Et connasse… (rires) Tous les petits trucs de Marseille quoi, ou du sud plus généralement.

Avec ton premier gros chèque, tu t'es acheté quoi ?

Ma voiture, une Porsche Cayenne (rachetée au Marseillais Brandao, ndlr).

Les filles, plutôt blondes ou brunes ?

Si je réponds les deux, ma femme va me tuer ! (rires) Non, mais peu importe, blondes, brunes, rousses, c'est avant tout une question de feeling.

Tu regardes quoi en premier chez une femme ?

Son regard justement.

Si t'étais une fille, tu choisirais qui dans le vestiaire de Nice ?

Kolo (Timothée Kolodziejczak). Parce qu'il a un beau petit cul. (rires)

Qui a la plus grosse voiture à Nice ?

Je ne sais pas, je ne les ai jamais vues encore. En fait, tu vois, on a tous deux voitures pratiquement. Et on vient à l'entraînement avec celle la plus passe-partout. La belle, on la laisse à la maison. En fait, c'est peut-être le président (Jean-Pierre Rivère) qui a la plus belle voiture du club… Il a une Porsche Cayenne GTS noire, elle est superbe.

Tu fais quoi pour le Nouvel An ?

Comme on s'entraîne le 31 décembre et le 1er janvier, ce sera tranquille. Le coach ne nous a pas fait de cadeau… (rires)

Tu te vois comment dans une dizaine d'années ?

Je vais profiter de la vie. Passer du bon temps, sur la plage, à jouer à la pétanque, ce serait pas mal. Mais ça va me soûler assez vite je pense… Après, il faudra que je me bouge de nouveau. Je me vois bien continuer dans le foot.

* L'interview a été réalisée le mardi 27 novembre.

Si vous avez raté la première partie, cliquez ici.

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