Les Bleues verront les quarts de finale des Jeux Olympiques 2024 ! Après sa défaite contre le Canada (1-2), l'équipe de France féminine a bien réagi pour décrocher une victoire contre la Nouvelle-Zélande (2-1) ce mercredi et valider sa qualification pour la phase finale du tournoi, où elle affrontera le Brésil.
Sans la capitaine Wendie Renard, blessée, les Bleues ont pris cette rencontre par le bon bout. Emmenées par une Baltimore très en jambes, elles ont concrétisé leur domination au cours de la première période. D’abord avec une première occasion dangereuse sur une frappe de Geyoro, trouvée au point de penalty par un centre de son ancienne coéquipière au PSG. Puis Baltimore a trouvé la tête de Katoto pour l’ouverture du score française (0-1, 22e) !
En confiance après ce but, les Françaises insistaient pour faire le break. Les joueuses d’Hervé Renard arrivaient à combiner sur les côtés et à trouver des espaces. Mais malgré plusieurs situations dangereuses, avec notamment un poteau trouvé par Cascarino, elles ne parvenaient pas à inscrire ce second but. Et cédaient avant la pause sur la première occasion néo-zélandaise : Taylor envoyait une frappe entre Peyraud-Magnin et son poteau gauche (1-1, 43e)…
Mais les Bleues n’ont pas eu le temps de gamberger. Dès le retour des vestiaires, Katoto a redonné l’avantage à son équipe sur un centre de Karchaoui (1-2, 49e) ! Derrière, les Françaises ont insisté pour se mettre à l’abri mais n’étaient pas récompensées de leur bon match, à l’image de Cascarino. Comme en première période, l’attaquante français a encore trouvé les poteaux : d’abord en coupant un centre de Baltimore, puis sur une frappe tendue du gauche.
Ultra dominatrices en seconde période, les Françaises n’ont pas réussi à mettre ce petit but supplémentaire pour se mettre à l’abri. Mais elles n’ont pas tremblé non plus, puisque les Néo-Zélandaises n’ont rien montré offensivement, courant après le ballon et rendant le cuir trop rapidement à leurs adversaires. Seul point noir de la soirée : la sortie sur blessure, sans doute musculaire, de Karchaoui en fin de match.
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