OM : les Marseillais ne digèrent pas l'arbitrage...
Mardi, l'Olympique de Marseille a été éliminé de la Ligue des Champions par le Panathinaïkos (0-1, 2-1 3-5 t.a.b.) dès le 3e tour préliminaire. Déjà frustré par l'arbitrage à l'aller, les Phocéens ont encore du mal à accepter certaines décisions litigieuses sur cette manche retour…
L'Olympique de Marseille va nourrir d'énormes regrets… Au terme d'un scénario extrêmement cruel avec une prolongation concédée au bout du temps réglementaire et une élimination lors de la séance des tirs au but, le club phocéen a été sorti par le Panathinaïkos (0-1, 2-1 3-5 t.a.b.) à l'occasion du 3e tour préliminaire de la Ligue des Champions.
Remontés par rapport à l'arbitrage à l'aller, les Phocéens ont encore subi plusieurs décisions litigieuses qui ont du mal à passer sur la manche retour…
Marcelino a du mal avec le penalty concédé…
Dans les faits, l'OM a été essentiellement malheureux avec la VAR. Avec l'aide de la vidéo, l'arbitre Michael Oliver a logiquement annulé deux buts phocéens signés Ismaïla Sarr et Vitinha pour des hors-jeux. Même si les Phocéens ont déploré une poussette au début de l'action sur le Sénégalais, signalé en position illicite pour quelques millimètres sur la réalisation du Portugais, cette décision semble difficile à contester. Tout comme le penalty concédé par Mattéo Guendouzi, effectivement auteur d'une main décollée dans la surface après un duel avec Tin Jedvaj.
Même si l'entraîneur phocéen Marcelino a eu du mal à l'accepter. «On se fait rejoindre sur un penalty très cruel, très discutable. Pour moi ce qui est inexplicable, c'est la dernière action, un simple choc entre deux joueurs, et une minute après un penalty qui est sifflé, pour moi ça n'a pas de logique», a pesté le technicien espagnol en conférence de presse.
Longoria a vu un penalty sur Guendouzi !
En réalité, la frustration de l'OM peut se comprendre sur une action bien précise : à la 90+3e minute, 2 minutes avant de concéder ce fameux penalty, Guendouzi a été poussé par Daniel Mancini dans la surface grecque. Si l'arbitre et la VAR n'ont pas bronché, le président olympien Pablo Longoria a déploré cette faute oubliée.
«On a subi des décisions un peu limite, qu'on ne partage pas. Je ne sais pas si vous avez vu le penalty de Mattéo... Mais on ne va pas entrer là-dedans», a soufflé le patron phocéen en zone mixte. Plongé dans une véritable tragédie grecque, l'OM a subi trop de vents contraires sur cette confrontation européenne.
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