![]() Vahid évincé, à qui la faute ?
Dossier spécial PSG : La décision est intervenue mardi, imparable et inévitable. Vahid Halilhodzic, venu en "conquistador" entraîner le PSG avec Francis Graille à sa tête, voit son règne déchu. Trop vite aux dires de certains, trop tard pour la plupart. Plongé au milieu de nombreux tumultes, "Coach Vahid" paie le prix fort une flagrante absence de communication et la multiplication des paradoxes. Maxifoot explore ce scénario, digne d'un «Voyage au Bout de l'Enfer» . Préambule En raison de l'actualité, la rédaction de Maxifoot a décidé de consacrer un dossier spécial au départ de l'entraîneur parisien. Le propos ne se veut pas ici de tirer à boulets rouges sur qui que ce soit. Simplement à partir de différents événements, tachons de comprendre les différents points de vue, aussi bien du côté de la direction que de vous supporters. De vos nombreuses réactions tout au long de l'année que vous nous transmettez, à celles que nous recueillons et partageons avec vous dans les travées du Parc des Princes, il apparaît simplement nécessaire de réflechir autour de ce nouvel épisode parisien. Bien entendu, nous comprenons que certains d'entre vous s'agacent d'un tel étalage, pour un club auquel on attache plus d'importance à ses troubles qu'à ses prestations sportives. Avec ce dossier, Maxifoot cherche à établir le lien entre plusieurs problèmes, tel un cercle vicieux qui se serait instauré dans l'ombre. Car avant tout passionnés de Football et supporters, au-delà d'un simple regard de journalistes, nous attachons une grande importance à notre Championnat qu'il nous attriste de voir bafoué sur le terrain par des situations extra sportives délicates. Et Paris, comme d'autres villes a le droit de prétendre retrouver un club de prestige. Il s'agit d'un tout à démêler, non exhaustif, loin de là. A qui la faute ouvre la porte d'une réflexion approfondie à laquelle vous êtes largement conviés de vous exprimer à votre tour, frustrés, agacés ou indifférents ! emplacement publicitaire Acte I : Enthousiasme et premières déceptions «Notre Histoire deviendra légende» ! Quel supporter du PSG dans les années 90 ne se souvient pas de ce slogan que l'on retrouvait sur les écharpes, les drapeaux, les pins et autres souvenirs de la formation parisienne. Le PSG vivait ses plus grandes heures de gloire. Le club de la capitale enchaînait les années avec la même impression de puissance, de maîtrise, de force. Cinq demi-finale européenne consécutives ! Mais une victoire et une finale perdue plus tard, le PSG viendrait à commencer modestement sa longue période de déclin, marquée de tumultes, de regrets, de déceptions, d'incertitudes, voire de vide. Les Présidents et entraîneurs se multiplient. Paris a perdu de sa magie et de son équilibre. En arpentant les travées du Parc des Princes ou au Camp des Loges, plus les années passent, plus les gens se souviennent de l'immense Rai qui avait pourtant mis du temps à s'adapter, avant de devenir une légende du club. On repense à ce but libérateur de Kombouaré de la tête contre le Real de Madrid au Parc des Princes ou encore à ces victoires de prestige contre Parme, Barcelone, le Bayern de Munich... Toutes les équipes tremblaient devant le PSG qui suscitait le respect, comme du temps des heures de gloire de l'Olympique de Marseille au destin étrangement quasi similaire. Paris ne trouvait plus de légende à sa hauteur jusqu'à l'arrivée d'un autre brésilien, dont les exploits ne cessent de susciter l'admiration aujourd'hui : Ronaldinho. Très demandé après la Coupe du Monde de 2002, ce technicien acrobate venait pour gagner des titres avec le PSG qui l'a révélé au grand public. La première mission de Vahid Halilhodzic aux yeux des supporters consistait à conserver dans l'effectif pour au moins une nouvelle saison ce talent incontournable, trop sollicité. Vahid ne l'ignorait pas. Il ne lui en a pas été donné les moyens. Il a fallu agir autrement. Il le regrette encore à ce jour car il représente le meneur dont il aurait eu besoin aujourd'hui. L'histoire d'un calvaire aux chemins arpentés commençait. Acte II : un cercle vicieux inévitable Difficile d'instaurer la pérennité au sein d'un club sur-médiatisé au moindre revers. Pour autant, plusieurs formations viennent à se séparer de leurs dirigeants ou entraîneurs dès lors que les résultats ne suivent pas. Pour ces derniers, la saison actuelle compte déjà sept limogeages intempestifs, provoqués ou non par la colère des joueurs ou la pression des supporters. La seule véritable raison officielle évoquée se veut similaire pour tous, à savoir l'accumulation de mauvais résultats. Par qui, comment et pourquoi sont-ils provoqués ? Les raisons invoquées se veulent multiples. Leurs conséquences à sens unique valent aujourd'hui la colère de L'UNECATEF, le Syndicat des Entraîneurs, qui reproche cet excès de limogeage de titulaires d'un diplôme de DEPF (Diplôme d'Entraîneur Professionnel du Football), au profit d'un remplaçant qui n'a pas eu recours à la formation traditionnelle. Bien entendu, ce coup de gueule peut largement se comprendre. Les joueurs s'expriment sur le terrain. Lorsque les résultats ne suivent pas, qu'ils se sentent oppressés et incapables de laisser entendre leur point de vue, il reste la solution du boycott sur la pelouse. Ils savent que si la situation ne s'arrange pas, le premier à en subir les conséquences sera certainement l'entraîneur. Une telle attitude n'honore personne. Il s'agit d'un acte qualifié d'anti-professionnel que certains peuvent juger pire que de se laisser acheter. Zapper un match volontairement ne relève pas une image de marque. Logique dès lors que de leurs côtés les supporters crient au scandale. Ils paient pour venir soutenir leur équipe de prédilection qui ne se soucie même plus de bien figurer. Les motivations ne sont pas les mêmes. N'empêche que le résultat devient souvent dramatique. Le changement réclamé apparaît indispensable, pour provoquer une récation positive. Tout ne peut pas toujours être rose dans le meilleur des mondes, sinon ces formations seraient toutes leaders du Championnat, mais cela occulte du bon fonctionnement d'un club. Qu'importe pour le supporter qu'il y ait des hauts et des bas dans les coulisses. Ce qu'il demande consiste avant tout à obtenir des résultats. Lorsqu'il observe que des hommes payés gracieusement pour taper dans un ballon se montrent incapables de mouiller le maillot, de puiser dans leurs ressources pour relever la tête, d'aligner des passes ou au moins faire preuve de bonne volonté, cela l'agace à juste titre. Le supporter débourse pour se rendre au stade, avec des tarifs en vigueur qui évoluent souvent à la hausse. Si on pousse la réflexion plus loin, on peut considérer que le supporter qui s'abonne signe un contrat virtuel avec le club. Il accepte de payer tel prix pour tant de matches à domicile. En revanche, rien ne lui garantit la qualité du spectacle et la victoire systématique. Il considère à juste titre que le Stade se veut un lieu de libre expression. Dès lors, il semble logique d'exprimer son désarroi lorsque les résultats ne suivent pas. Impossible d'en blâmer les supporters qui justement ne peuvent tout accepter sans broncher, surtout si les prix ne cessent de grimper. ils ont eux aussi leurs propres limites. La tête de l'entraîneur revient souvent sur le tapis. Le cercle vicieux suit son cours traditionnel et Vahid Halilhodzic sur la durée semblait mal en point pour tenir le coup. A moins que… Acte III : une empreinte lilloise trop marquée Lors de cette dramatique saison pour le PSG, Vahid n'a pas toujours été sur la sellette. Peu avant la trêve, les joueurs dont Pauleta, se sont motivés pour l'emporter au Stade Bonal de Sochaux. Le Portugais a salué son coach pour lui signifier que le groupe demeurait majoritairement fidèle à sa méthode et voulait lui accorder un temps de répit. Ils se sont repris, y compris en Ligue des Champions et s'octroient deux superbes victoires consécutives contre Marseille. Si Paris franchit le cap du premier tour éliminatoire, nul n'ignore que beaucoup d'évènements seront excusés, voire oubliés. Paris retrouverait une heure de gloire, rudement obtenue. Conduit par le capitaine Pierre-Fanfan, le PSG allait au-delà des circonstances défavorables pour sortir la tête de l'eau. Les blessures des Rothen ou de M'Bami, le départ prématuré de Fiorèse avaient provoqué des remous difficiles à gérer. Quelque part, Vahid Halilhodzic, impuissant, n'ignorait pas que son avenir reposait sur un enchaînement de bons résultats, plus que sur une arrivée de joueurs de génie, comme un véritable animateur. Il pouvait se satisfaire du retour de certains automatismes en défense, notamment avec Yepes. Les déclarations et interviews du magicien bosniaque se veulent de plus en plus rares. Lorsqu'il s'exprime dans le Figaro ou encore pour l'Equipe Magazine, Vahid Halilhodzic apparaît épuisé moralement, physiquement, détruit par certaines attitudes blessantes voire outrageantes. Il ne contrôle plus la situation. L'équipe soudée qu'il avait réussie à bâtir se désagrège littéralement. Il n'en est que plus touchant. Admiratifs devant une telle lucidité, alliée à une indéniable volonté de se battre et de poursuivre selon sa méthode, les supporters s'accordent à penser qu'il a logiquement besoin de construire dans la durée. Paradoxalement, ceux-ci souhaitent majoritairement que cessent les histoires de taupe, de règlements de comptes, des envies de départ (comme M'Bami) pour se concentrer sur l'essentiel. Conscient d'être à la tête d'un club difficile à gérer, Coach Vahid poursuit son travail avec acharnement. Il a convaincu et réalisé ses preuves avec Lille. Là où le bas blesse, c'est justement qu'il a quelque peu oublié qu'il n'était plus à Lille. Acte IV : une obstination étouffante et inquiétante Paris bénéficie d'un certain statut qu'il faut retrouver. Dans l'ombre, ses choix laissent sceptiques des supporters songeurs qui ne comprennent pas un certain acharnement. Ils attendent de voir. Où cela mènera t-il le groupe sur le long terme ? Ils désirent de la régularité. A chaque rencontre à domicile, les supporters commencent à se diviser autour des différentes responsabilités. D'un côté, les critiques à l'égard des prestations individuelles jugées totalement irréalistes. Paris n'arrive plus à jouer au ballon et se montre parfois à la limite du «ridicule», pire qu'une équipe de L2. Mais Vahid continue à croire en ses idées et se contente de "bonnes choses". De l'autre, la montée en puissance de la grogne autour d'un homme, loin du banc. Le Président Francis Graille ne cesse plus d'entendre son nom hué. Le PSG était malade de l'intérieur. Dans un tel contexte, les résultats s'en ressentent. Autre cercle vicieux ! Plus Francis Graille et Larue s'obstinent à relativiser voire freiner le dialogue avec les kops, plus les supporters des tribunes Auteuil et Boulogne sont privés d'encourager comme ils le désirent leur équipe. Celle-ci, pas en confiance, perd ses marques et les résultats sont mauvais. Alors plus le Parc gronde sa colère et se divise, plus Vahid halilhodzic en vient à perdre sa crédibilité. Les joueurs repoussent la faute sur l'entraîneur. La crise atteint des sommets. Là encore, il convient de relativiser. Certes, Francis Graille peut avoir des raisons de vouloir veiller à la sécurité dans le stade et au respect des consignes de sécurité. Seulement dans le même temps, il a oublié que les supporters réclament un autre droit, celui d'avoir un véritable Président à la tête du club prestigieux de la Capitale et qui n'oublie pas ses promesses. Nous y reviendrons dans le dernier acte. Voilà pourquoi, lors de la correction subie contre le CSK Moscou, le public du Parc se déchaîne contre Graille et non contre l'entraîneur bosniaque qui n'a pas pleinement réuni les moyens de la réussite à sa disposition. Comme qui dirait, il est pris en otage, en grippe, entre deux feux. Qui en blâmer véritablement ? Chacun détient une part de responsabilité. Une seule certitude. Pas question pour Graille de quitter la direction d'un club aussi prestigieux que paris, dont il entend bien racheter des parts à son actionnaire principal Canal+. Son obstination va mettre en péril son plus fidèle soutien et ami, celui avec qui il s'est lancé l'incroyable pari de remettre le PSG sur de bons rails : Vahid Halilhodzic. Lorsque Graille arrive à la tête du PSG, son discours séduit l'ensemble des observateurs, y compris les supporters. Parmi ses promesses, celle de réduire les soucis budgétaires du club de la capitale, d'alléger les effectifs sans toutefois usurper la qualité des joueurs, d'améliorer l'image du club et de ses supporters et moderniser les installations. Paris doit redevenir un club qui suscite le rêve. Il y aura des grands noms à Paris. C'est une certitude affichée. Sans surprise, le Coach bosniaque, ex-joueur du club au milieu des années 80 vient avec sa méthode. Après ses succès avec Lille qu'il a porté en haut de l'affiche, la consécration arrive pour le duo de choc. Le temps doit faire son oeuvre. Une saison plus tard, Paris a retrouvé sa passion, sa fougue, son réalisme et un collectif. Au terme d'une saison sérieuse et malgré un départ en demi-teinte, Paris accède à la Ligue des Champions et termine dauphin de Lyon. Paris se relance et remporte en prime la Coupe de France. «La vie Rêvée des Anges» ? Non, car un incident dramatique vient ternir ce parcours. Déhu, le capitaine exemplaire du club annonce son départ pour Marseille (cf dossier mai 2004). Sous les sifflets des supporters médusés, il ne peut profiter du succès. Il est question d'argent, de trahison, de mécontentements, d'abus. Quelque part cet incident annonce des lendemains pénibles. C'était le grand début de tous les problèmes. La deuxième épreuve dont sort inconsciemment amoindri Vahid Halilhodzic, au niveau de l'effectif. Acte V : un rapport promesses / paradoxes défavorable Les erreurs de recrutements, du moins les paradoxes ne cessent de se multiplier. Francis Graille part avec des bons principes. Ses intentions sont louables. Seulement par excès de séduction, il obtient l'inverse. Tout commence avec le départ de Ronaldinho à Barcelone. Paris perd une légende de demain. S'ensuivent quelques mois plus tard, alors qu'un groupe s'est forgé, des départs incompréhensibles aux yeux des supporters consternés. Pas le moindre effort pour lever une option sur Sorin qui a considérablement permis au PSG de se hisser en Ligue des Champions. Heinze peut rejoindre sans insister de trop le Championnat d'Angleterre. Fiorèse qui semblait reparti pour deux ans avec le club de la Capitale, file vers Marseille à la veille de la fermeture du marché des transferts. Qu'importe les circonstances, Paris se retrouve considérablement amoindri. Maigre consolation, dans les travées du Parc où nous nous rendons, les supporters se satisfont uniquement de la volonté de Rothen de se rendre à Paris. A l'inverse, comment comprendre que certains noms affichent une ferme volonté de rejoindre le PSG, mais qu'au dernier moment ils choisissent Marseille, Lyon voire l'étranger. Aux yeux de tous, un nom passe encore, pas deux, encore moins trois : Pedretti, Abidal, Wiltord… Impensable à en entendre un Président qui annonce une très grande équipe à Paris ! N'en déplaise aux supporters nantais, encore plus mal lotis et qui observent impuissants les départs de leurs principaux titulaires à gauche et à droite, alors qu'on leur promettait d'en conserver la majorité. Armand, Yepes se veulent de très bons joueurs. Il n'empêche que toutes ces arrivées, auxquelles s'ajoutent celles de Coridon et Pancrate n'ont rien à voir avec les promesses de la Direction du Club. Des déceptions à la chaîne pour les supporters que l'on peut aisément comprendre. Marseille (dont la somme d'individualités forte n'aura pas empêché la crise non plus) et Lyon (qui caracole en tête du Championnat) affichent un groupe doté de puissantes individualités, alors que Paris semble repartir de zéro aux dires du plus grand nombre. La saison avance et rien n'y fait. L'impression se confirme. Paris a perdu ses illusions et ne gagne pas. L'arrivée au Mercato de Semak vient achever cette impression. Peu s'accorde à dire parmi vous que le russe va sauver Paris des eaux. Qui est-il, hormis l'attaquant qui a mis fin aux espoirs européens du PSG. Si le résultat avait été inversé, Paris n'aurait jamais accueilli en son sein le russe. Etrangement, Vahid halilhodzic lui «rabat son claquet» dès son arrivée. Il rira moins. Est-ce là la meilleure mise en condition pour le russe ? Pas si sûr ! En réalité, Vahid ne perd pas ses qualités d'entraîneurs. Seulement il oublie de s'ouvrir au dialogue et la fronde des joueurs s'accentue. Au sein d'un parc des Princes en colère, on se fatigue d'assister à des remplacements qui ne laissent jamais sa chance au jeune et talentueux Benachour. Boskovic a les faveurs des pronostics. Son doublé contre Marseille ne suffit pourtant pas à convaincre. Ljuboja aussi est soumis à un sort étrange et perd ses marques. Aucune construction dans le jeu. Paris surnage. Cela s'observe sur le terrain. Tout ceci finit par agacer. Le Parc renvoie sa colère sur ses autres soucis parce qu'il en va ainsi du cercle vicieux. Vahid n'a pas les moyens de recruter les joueurs qu'il faut, parce que les actionnaires majoritaires et Président du Club se refusent à ouvrir le portefeuille, que ce dernier s'obstine à s'occuper d'un rôle qui ne se veut sans doute pas prioritaire à son ordre de mission et ne tient pas ses promesses. Ceux qui restent veulent fuir le carnage sportif, souvent laissés pour compte, sans même des raisons constructives de concurrences à un poste. Paris joue mal et sombre au classement. Résultat des courses. Graille craque et s'il entend préserver ses chances de demeurer président du PSG, il doit accepter des concessions. Les joueurs boudent et contestent. Ils se le mettent à dos. Ils n'en veulent plus. Les joueurs n'ont plus le respect de l'entraîneur. Le coach se retrouve donc dehors. Fin de l'histoire et des rêves de Vahid Halilhodzic de redresser le PSG à sa manière ! Epilogue : vers quel avenir Vahid Halilhozic s'en va. Il est remplacé par Fournier, ex joueur du club de la Capitale. Ces temps-ci, il semble bien que les entraîneurs les plus en vues soient des anciens joueurs. Pourquoi ? Ils apportent de la simplicité aux relations internes et facilitent la compréhension et les rapports avec l'effectif. Une formule qui séduit les troupes et désole les présidents comme Graille qui conçoivent avant tout la direction d'un club, selon une méthode bien particulière et des statuts bien définis à respecter. Cela reste une approche louable qu'il ne faut surtout pas rejeter. Les torts sont partagés. Les sacrifiés se veulent toujours une nécessité, à moins d'enchaîner les saisons de gloire comme Lyon. Il n'empêche, la solution du problème parisien réside probablement dans un rapport de force joueurs / staff plus modéré et moins intransigeant. Qui sait si Paul Le Guen n'avait pas prévu ces évènements et songé dans un coin de sa tête revenir à Paris, pour gagner à nouveau ! Du côté des supporters, certains avaient prédit dès le départ l'échec de Vahid Halilhodzic à Paris, d'autres lui regrettaient Fernandez. Un changement en guise de signe fort était attendu. Est-ce le meilleur choix ? Pour les joueurs qui veulent se sentir moins oppressés, peut-être, pour l'avenir sportif du PSG, sans doute, pour les supporters une chance qui ne solutionne pas tous les problèmes et pour Graille certainement une blessure profonde et irréversible qui cache l'arbre derrière la forêt. Affaire à suivre ! 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