Après nous avoir fait partager sa passion pour le ballon rond, Xavier Pentecôte a accepté de nous ouvrir les portes de sa vie privée. Avec beaucoup d'humour et de franchise, l'attaquant niçois n'a pas hésité à nous faire partager son intimité au cours de la seconde partie de l'entretien.

Régulièrement, retrouvez sur Maxifoot des interviews surprenantes et décapantes des principaux acteurs du foot où vous apprendrez tout sur leur vie hors des pelouses du championnat. Les interviews que l'on appelle les «36 de Maxifoot» sont découpées en deux parties : côté terrain, et côté vie privée.

Agé de 25 ans, Xavier Pentecôte porte depuis l'été dernier les couleurs de l'OGC Nice. Formé à Toulouse, ce grand attaquant remporte la Gambardella avec les Violets en 2005, en dominant l'Olympique Lyonnais de Karim Benzema et Hatem Ben Arfa en finale. Prêté lors de la saison 2007-08 à Bastia, il se distingue notamment en signant un quadruplé avec les Corses face à Brest en Ligue 2. En janvier 2010, Pentecôte est de nouveau prêté au Sporting, avec lequel il marque 12 buts en 15 matchs de championnat.

De retour à Toulouse, il se blesse gravement au genou au cours de l'été 2010. Un an plus tard, l'attaquant est transféré chez les Aiglons, avec lesquels il commence à trouver ses marques avant d'être victime d'une nouvelle rupture des ligaments croisés. Bientôt remis sur pied, l'ancien Toulousain espère être épargné par le sort la saison prochaine. Et montrer enfin toutes ses qualités parmi l'élite.

Qu'est-ce que tu fais en général après un match ?

Soit je rentre à la maison, tranquillement, soit je vais manger au restaurant avec la famille, les amis.

Hormis le football, tu as une passion dans la vie ?

Non, pas vraiment. C'est le foot ou la famille.

Tu écoutes quoi comme musique ?

De tout, sauf du rap. Je n'ai pas vraiment d'affinités avec le rap. (rires)

Twitter ou Facebook ?

Ni l'un ni l'autre. J'ai un compte Facebook sur lequel je mets des infos de temps en temps pour les gens qui me suivent, mais ça ne m'intéresse pas plus que ça.

Tu regardes quoi à la télévision ?

Du foot en priorité. Mais j'aime aussi me poser devant des bons films.

Quel est ton petit pêché mignon en nourriture ?

Les bonbons ! (rires) Oui, tous les bonbons !

Tu es superstitieux ?

Pas du tout !

Quelle est la plus grosse bêtise que tu ais faite étant gamin ?

(rires) Je ne peux pas la raconter ! Bon, si t'insistes… Avec un ami, on avait vendu un faux ticket de tombola à une voisine. En plus, c'était une pauvre petite vieille. On n'avait pas de pitié… (rires) On avait entre 8 et 10 ans, quelque chose comme ça. Bon, on s'était fait choper derrière.

Si tu n'avais pas été footballeur, quel métier aurais-tu exercé ?

Si je n'avais pas été footballeur, j'aurais été mal barré ! (rires) Non pas parce que je n'avais pas les capacités de faire autre chose, je pense que je m'en serais sorti, j'en suis même sûr, mais dans ma tête, j'ai toujours voulu devenir pro.

Quelle est la personnalité la plus connue de ton répertoire téléphonique ?

Ma femme ! (rires) Ce n'est pas une star, mais tout le monde la connaît ! (rires)

Quelle est l'insulte qui t'échappe le plus souvent ?

Putain !

Avec ton premier gros chèque, tu t'es acheté quoi ?

Je n'en ai pas encore eu ! (rires) Rien de bien particulier, je n'ai pas fait d'achat impulsif. Je ne me suis jamais dit, tiens, dès que j'ai un peu d'argent, j'achète ça, etc.

C'était comment ta première fois avec une fille ?

C'est très privé ça ! T'es sûr qu'on est sur Maxifoot ? (rires)

Tu regardes quoi en premier chez une femme ?

Chez une femme, je ne sais pas, mais chez ma femme, c'est son sourire.

Si t'étais une fille, tu choisirais qui dans le vestiaire de Nice ?

Personne ! Pas de footballeur, ça c'est sûr, ce n'est pas mon truc ! (rires)

Qui a la plus grosse voiture à Nice ?

Il n'y a pas de trop de voitures tape-à-l'oeil ici… Pas de gros 4x4, de Ferrari, etc. Ah, si, il y a quand même une Bentley, celle de Digard.

Tu pars où en vacances cet été ?

Je pars à New York.

Tu te vois comment dans une dizaine d'années ?

En famille, avec deux ou trois enfants. Et au niveau professionnel, je me vois bien gérer une entreprise.

Si vous avez raté la première partie, cliquez ici.

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