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Top Déclarations : Cris cloué au pilori, Coupet ne calculait plus Dhorasoo, Ciani se lâche sur Tigana…
Par Pierre-Damien Lacourte - Top Declarations, Mise en ligne: le 14/05/2011 à 08h36
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Au menu du Top Déclarations cette semaine, Cris cloué au pilori, Coupet ne calculait plus Dhorasoo, Ciani se lâche sur Tigana, Blanc a voulu tout plaquer, Aulas ne ménage plus Puel, Anigo adresse un carton rouge à M. Lannoy, Bruno Cheyrou et les joueurs fantômes de Nantes... Découvrez les phrases choc de la semaine.

Top Déclarations : Cris cloué au pilori, Coupet ne calculait plus Dhorasoo, Ciani se lâche sur Tigana…
Après sa piètre prestation à Auxerre, Cris en a pris pour son grade...

Chaque samedi, Maxifoot vous propose de faire le tour des dix déclarations de la semaine qu'il ne fallait pas manquer. Du sérieux et du moins sérieux pour connaître le meilleur des petites phrases des acteurs du ballon rond. Découvrez le classement de toutes les déclarations qui ont fait les choux gras de la presse cette semaine.

1. J.-M. Larqué – «Cris n'a pas fait un vrai bon match depuis trois ans ! (…) C'est incroyable de se faire manger comme il se fait manger. On est bien loin de l'image du policier qu'on avait de lui avant»

Complètement dépassé à Auxerre, Cris a sombré pour sa 200e en Ligue 1. Il n'en fallait pas plus pour donner du grain à moudre à Jean-Michel Larqué : «Cris me fait penser à un boxeur qui a enchaîné les victoires toute sa carrière et qui un jour prend un KO et ne se relève pas. Pour moi Cris n'a pas fait un vrai bon match depuis trois ans ! Je pense qu'il avait un tout petit peu anticipé ses vacances et sur le premier but d'Auxerre c'est incroyable de se faire manger comme il se fait manger. On est bien loin de l'image du policier qu'on avait de lui avant.»

Le défenseur brésilien est habillé pour l'été.

2. G. Coupet – «Dans le vestiaire, il (Dhorasoo) m'avait allumé devant tout le monde. Là, j'avais vu rouge. (…) Après, j'avais trouvé un moyen de ne plus me prendre la tête avec lui, je ne le calculais plus»

Entre Grégory Coupet et Vikash Dhorasoo, ça n'a jamais été le grand amour. Cette semaine, le gardien parisien est revenu sur l'acte fondateur de cette querelle : «Je lui avais demandé de se placer sur une action, il m'avait regardé et fait l'inverse, une manière de me montrer qu'il m'emmerdait... J'étais allé le voir pour lui dire que ce n'était pas bien. Quand il était revenu dans le vestiaire, il m'avait allumé devant tout le monde. Là, j'avais vu rouge. J'étais parti pour le secouer quand le "prés" (le président, Jean-Michel Aulas) m'avait rattrapé. C'était comique finalement... Après, j'avais trouvé un moyen de ne plus me prendre la tête avec lui, je ne le calculais plus.»

Coupet n'était pas le seul à avoir des problèmes avec Dhorasoo…

3. M. Ciani – «Jean Tigana n'a pas été assez proche de ses joueurs, c'est ce que le vestiaire lui a reproché. Il aurait fallu un coach qui communique plus. J'ai senti l'humiliation à fond, je suis sorti sous les sifflets»

Pour la dernière de Jean Tigana sur le banc de Bordeaux, Michaël Ciani a quitté le terrain prématurément. Il n'en fallait pas plus pour que le défenseur girondin se lâche une fois le prédécesseur d'Eric Bedouet parti : «Jean Tigana n'a pas été assez proche de ses joueurs, c'est ce que le vestiaire lui a reproché. Il aurait fallu un coach qui communique plus. J'ai senti l'humiliation à fond, je suis sorti sous les sifflets, avant la mi-temps. Je ne regrette pas d'avoir parlé avec Tigana sur le banc.»

Tigana n'était peut-être pas le seul responsable des prestations plus que médiocres de l'ancien Lorientais cette saison.

4. L. Blanc – «Est-ce que j'ai présenté ma démission ? A aucun moment. Est-ce que j'ai songé à démissionner ? Oui. (…) Vous êtes dans un engrenage et vous vous dites que vous n'avez pas choisi ce poste pour connaître ça et que si la solution est de partir, vous devez partir»

Mis à mal dans l'affaire des quotas discriminatoires, Laurent Blanc a vécu plusieurs jours difficiles. Au point d'avoir eu envie de tout plaquer : «Est-ce que j'ai présenté ma démission ? A aucun moment. Est-ce que j'ai songé à démissionner ? Oui. Parce qu'à un moment donné vous sentez que tout s'emballe, qu'il y a des amalgames qui sont faits et qui prennent une dimension au-delà du sportif. Vous êtes dans un engrenage et vous vous dites que vous n'avez pas choisi ce poste pour connaître ça et que si la solution est de partir, vous devez partir.»

Le sélectionneur tricolore a finalement choisi de poursuivre sa mission. Mais avec une image désormais écornée.

5. J.-M. Aulas – «Claude Puel sera sur le banc jusqu'à la fin de saison, de toute façon je n'ai pas le choix... On peut dire au revoir à la deuxième place»

Trop, c'est trop pour Jean-Michel Aulas. Plus question de défendre Claude Puel après la claque 4-0 reçue à Auxerre : «Je suis déçu. Le match de dimanche contre Marseille avait fait naître de nouveaux espoirs. Claude Puel sera sur le banc jusqu'à la fin de saison, de toute façon je n'ai pas le choix... On peut dire au revoir à la deuxième place.»

Trois matchs et puis s'en va pour l'ancien technicien lillois.

6. J. Anigo – «Il y a des arbitres avec qui on a souvent des problèmes, il en fait partie. Il y avait déjà eu des soucis au Parc des Princes. Mieux vaut qu'il ne nous arbitre pas (…). J'ai du mal à trouver des excuses à M. Lannoy»

En refusant un but valable à l'OM face à l'OL dimanche dernier, M. Lannoy a provoqué la colère de José Anigo, visiblement très remonté : «Je trouve qu'il est passé à côté de son match. Quand il siffle une main qui n'existe pas, alors que Loïc Rémy marque, ça change tout. Mener 1-0, c'est un autre match. Maintenant, on ne va pas se réfugier derrière ces excuses. Mais quand même... Il y a des arbitres avec qui on a souvent des problèmes, il en fait partie. Il y avait déjà eu des soucis au Parc des Princes. Mieux vaut qu'il ne nous arbitre pas, et que le match se fasse avec un autre, et que l'équité soit respectée. J'ai du mal à trouver des excuses à M. Lannoy.»

Le directeur sportif marseillais devrait bientôt être invité par le CNE à s'expliquer.

7. Br. Cheyrou – «Savez-vous combien de joueurs on a utilisé cette saison ? 34 ou 35. Cela fait trois équipes ! (…) Rodelin, Négo, ce sont des ghostbusters !»

Rien ne va plus au FC Nantes. Et ce n'est pas la sortie médiatique de Bruno Cheyrou à l'égard de deux de ses coéquipiers qui risquent d'arranger les choses : «Savez-vous combien de joueurs on a utilisé cette saison ? 34 ou 35. Cela fait trois équipes ! Cissokho, c'est le cinquième ou sixième arrière gauche au départ. A chaque match, on vous change la moitié de l'équipe. À un moment donné, il faut une certaine ligne directrice. Rodelin, Négo, ce sont des ghostbusters (des joueurs fantômes, ndlr) !»

Les Canaris volent aujourd'hui tout près du National…

8. Leonardo – «Je serais vraiment intéressé de savoir ce qu'il (Gattuso) a à dire, vu qu'il ne m'a jamais été possible de l'entendre ni au téléphone, ni en personne»

Une énième fois insulté par Gennaro Gattuso, Leonardo en a marre. L'entraîneur de l'Inter Milan veut s'expliquer avec son ancien joueur : «Le jour où j'ai décidé de quitter le Milan AC, Gattuso m'a dit qu'au moins, j'avais été cohérent dans mon choix. Mais aujourd'hui je lis dans certains journaux qu'il veut encore donner sa version des événements. Je serais vraiment intéressé de savoir ce qu'il a à dire, vu qu'il ne m'a jamais été possible de l'entendre ni au téléphone, ni en personne. En outre, je me demande quelle est la position du Milan AC sur cette affaire.»

Pour info, le milieu de terrain du Milan AC avait chanté avec les supporters rossoneri «Leonardo, uomo di merda» . Forcément, le Brésilien n'allait pas rester de marbre cette fois…

9. A. Chedjou – «Leurs gros salaires ! Ils sont en augmentation à Lille, mais ils ne sont pas au niveau de ce qui est pratiqué à Paris. Je ne me plains pas, mais on veut toujours gagner plus»

Avant de défier le PSG en finale de la Coupe de France ce samedi, Aurélien Chedjou aurait aimé être dans le camp d'en face au moins pour une raison, les salaires versés par le club de la capitale à ses joueurs : «Leurs gros salaires ! Ils sont en augmentation à Lille, mais ils ne sont pas au niveau de ce qui est pratiqué à Paris. Je ne me plains pas, car je suis un privilégié, mais on veut toujours gagner plus.»

Le défenseur lillois pourra se consacrer avec une énorme prime en cas de doublé coupe-championnat réussi en fin de saison.

10. F. Antonetti – «Si on finit 8e, on verra. Mais je pense que je n'aurai pas besoin de prendre les initiatives à ce moment-là. Vous savez très bien comment ça se passe dans le football»

Alors qu'il vient tout juste de prolonger son contrat de deux ans, Frédéric Antonetti se sent aujourd'hui menacé sur le banc du Stade Rennais. Et s'il ne l'est pas, c'est lui qui menace de partir : «Ce n'est pas aujourd'hui que vous devez me poser cette question, c'est à la fin mai. Si vous voulez la poser au patron n'hésitez pas, je ne suis que simple entraîneur. Il est évident que quand on n'a pas gagné depuis huit (neuf aujourd'hui, ndlr) matchs, le regard sur l'entraîneur n'est pas tout à fait le même que quand on était dans les trois premiers pendant 25 matchs. Je n'ai pas l'impression d'avoir changé, je suis toujours le même. Si on finit 8e, on verra. Mais je pense que je n'aurai pas besoin de prendre les initiatives à ce moment-là. Vous savez très bien comment ça se passe dans le football.»

Après 9 matchs consécutifs de championnat sans la moindre victoire, le technicien corse commence à se poser des questions…

C'est sur cette menace de Frédéric Antonetti que se termine le Top Déclarations de la semaine. Rendez-vous dès samedi prochain pour un nouveau numéro !



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