OM : enfin une piste solide, et exotique, pour le rachat du club !
Au point mort ces derniers temps, le processus de vente de l'Olympique de Marseille est peut-être relancé ! France Football indique en effet qu'un fonds d'investissement iranien aurait déposé un dossier jugé comme très solide par le club phocéen pour racheter les parts de l'actionnaire majoritaire, Margarita Louis-Dreyfus.
«J'ai demandé à Margarita : "Où en êtes-vous ?" Elle m'a dit : "Nous avons quelques demandes mais rien de précis."». Lundi, le maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, se montrait peu optimiste au sujet d'un passage de témoin rapide à la tête de l'OM, officiellement mis en vente le 13 avril par son actionnaire majoritaire, Margarita Louis-Dreyfus.
Pourtant, une lueur d'espoir semble enfin surgir dans ce dossier pour redonner un peu de baume au coeur de supporters exténués après une saison chaotique sur le plan sportif comme en coulisses. En effet, d'après le magazine France Football, les dirigeants phocéens étudieraient actuellement une offre émanant d'un fonds d'investissement iranien !
Les dirigeants emballés !
Tout aussi exotique qu'elle soit, cette piste s'annonce a priori très concrète. Si les décideurs olympiens en sont encore à vérifier le sérieux du candidat, pour l'heure, le dossier serait estimé comme «extrêmement solide» en interne. Le média précise que l'offre provient bien d'un acteur privé et pas de l'Etat iranien, même si celui-ci a sans doute donné son feu vert et y voit certainement un moyen de redorer l'image du pays à l'étranger. 3e réserve mondiale de pétrole et 2e de gaz naturel, la nation perse possède de solides ressources qui pourraient, pourquoi pas, permettre à l'OM de renouer à nouveau avec son lustre d'antan.
Une piste encore toute fraîche
Cette piste ramène en tout cas un peu de positif alors que les derniers bruits de couloir n'étaient pas vraiment rassurants. France Football faisait notamment écho d'une proposition de Luc Dayan refusée par MLD au motif que l'ancien Lensois avait proposé de racheter non pas l'intégralité des parts de la femme d'affaires, mais seulement 51%... Avec le fonds d'investissement iranien, les décideurs marseillais ont-ils enfin mis la main sur un interlocuteur susceptible de les satisfaire ? Réponse dans les prochaines semaines puisque le dossier se trouve évidemment à un stade peu avancé et que son dénouement prendra du temps.
Que vous inspire cette piste ? N'hésitez pas à réagir et à débattre dans l'espace «Publiez un commentaire» ...
