Javier Pastore aura encore une fois été le héros parisien dimanche en débloquant la situation à l'heure de jeu. En plus de tromper Hugo Lloris, l'Argentin du Paris Saint-Germain a réussi un autre exploit : conquérir les Lyonnais, tombés sous le charme de l'ancien joueur de Palerme.

Javier Pastore transforme en or tout ce qu'il touche actuellement.

La magie n'a pas mis longtemps à opérer. Javier Pastore fait plus que répondre aux attentes placées en lui lors de son arrivée au Paris Saint-Germain. Parce qu'il est tout d'abord le principal artisan du retour du club de la capitale en haut de l'affiche. Avec déjà 5 buts et 2 passes décisives en 7 matchs de Ligue 1 disputés, l'Argentin est, en plus d'être un régal pour les yeux, un joueur terriblement efficace.

Et puis aussi parce qu'il a réussi l'exploit de mettre tout le monde dans sa poche. Pastore fait l'unanimité auprès de tous ceux qu'il croise. Bourreau des Lyonnais dimanche au Parc en débloquant la situation peu après l'heure de jeu, ces derniers ne lui en veulent même pas pour autant. Bien au contraire.

«Avoir un joueur comme lui, c'est énorme»

Les Gones sont eux aussi tombés sous le charme. A l'image de Rémi Garde, dont les propos forcent le respect : «Il a fait la différence. C'est un régal. Il est humble et il est fantastique quand il touche le ballon.» Classe. Hugo Lloris, qui s'est pourtant fait berner par le Parisien sur son but, est lui aussi admiratif.

«Dans ce genre de rendez-vous, ce sont souvent les grands joueurs qui font la différence. On a pu le constater avec Javier Pastore», note le portier lyonnais, interrogé par RMC. Son coéquipier Maxime Gonalons est du même avis : «Avoir un joueur comme lui, c'est énorme. J'avais rarement joué contre un joueur d'un tel calibre.»

Dans deux semaines, ce sera au tour d'Ajaccio de croiser la route de Pastore. Avec de nouveaux commentaires très élogieux à l'égard de l'Argentin à l'arrivée ?

Javier Pastore est-il le meilleur joueur que la Ligue 1 ait connu ces dernières années ? Réagissez dans la rubrique «Commentaires» ci-dessous.