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Le Baromètre de le Semaine - N°4
Par David Lebleu - Le Barometre De La Semaine, Mise en ligne: le 30/08/2004 à 14h57
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Les faits marquants de l'actualité du ballon rond : cette semaine, côté valeurs en hausse, allez les petits, sur le toit d'Angleterre et viva mercato. Pour les valeurs en baisse, encore Paris, le foot au JO et SOS virés .

Les valeurs en hausse

Allez les petits !

Alors que les supposés grands de la Ligue 1 tardent à hisser leur niveau de jeu (Lyon 6e, Marseille 8e, Monaco 9e et Paris SG… 14e), les petites cylindrées sortent le bout de leurs crampons ! Honneurs donc cette semaine à trois clubs dits ''petits''. Tout d'abord félicitations au Lille OSC fraîchement auréolé du titre de co-vainqueur de la Coupe Intertoto contre les Portugais de Leiria après un match retour de folie qui s'est joué jusqu'à… minuit et demi (2-0 après prolongations). Ensuite place au Toulouse FC qui a failli surprendre les Nantais dans leur antre (2-2, égalisation des Canaris à 5 minutes du terme). Avec ses renforts de choix que sont Stéphane Dalmat et Daniel Moreira, le Président Sadran et l'entraîneur Erick Mombaerts sont en passe de réussir un sacré début de championnat (4e). Et enfin la bonne surprise de l'été, le leader, le Football Club de Metz de Carlo Molinari qui ne cesse d'étonner. Avec trois victoires et un nul, la réussite des Lorrains ne doit ni cacher ni mettre de côté la fougue et la jeunesse prometteuse avec des éléments forts tels que le Camerounais Tum ou le néo-sélectionné Espoirs Ribery.

Sur le toit d'Angleterre…

Les désormais légendaires Gunners côtoient en ce moment les sommets de leur art. Non seulement, Arsenal n'en finit plus de gagner, mais en plus les Rouge et Blanc continuent de faire trembler les filets comme ils en ont pris l'habitude (quatre matches pour seize buts marqués). Face à Norwich, les 22 premières minutes ont été suffisantes aux hommes d'Arsène Wenger pour jauger l'adversaire du jour. Avec des buts du prometteur Espagnol Reyes (22e), des Frenchies Henry (36e) et Pirès (40e) puis de l'éternel Bergkamp (93e), les co-leaders de la Premier League l'ont emporté quatre buts à un. Co-leaders ? Oui, en effet, le Chelsea de José Mourinho est le seul candidat aujourd'hui apte à suivre la cadence imposée par les Gunners. Avec également quatre victoires en quatre matches, les Blues certes moins prolifiques (six buts pour et un contre) font un parcours exemplaire. Quelle bataille en perspective !

Viva Mercato !

Mardi soir minuit, les portes du marché d'été seront fermées. Comme à leurs habitudes, les acteurs principaux du championnat de Ligue 1 font les derniers aménagements… pour équilibrer ou rééquilibrer les secteurs défaillants entrevus depuis la reprise. Cette période propice aux effets d'annonces procurent à tout supporter la matière première de tout débat. Nicolas Anelka, Sylvain Wiltord, Diego Tristan, Zlatan Ibrahimovic parmi tant d'autres stars du ballon rond annoncés en France ! Ajoutons Luis Figo, Wayne Rooney, Herman Solari ou encore Miguel Angel Angulo, et nous avons une belle palette de joueurs internationaux prêts à changer de tenues. Certes ce marché a ses partisans et ses détracteurs, a ses qualités et défauts, mais il faut bien avouer que les spéculations, comme de nombreux secteurs, font partie du monde économique d'aujourd'hui… pour notre plus grand plaisir !

Nous aurions pu évoquer ici les bons débuts de Ludovic Giuly à Barcelone ou encore les buts d'Alexander Frei.

Les valeurs en baisse

Encore Paris !

Quatre matches de championnat, deux nuls et deux défaites, et voici le Paris SG en quatorzième position. Ajoutons la défaite d'avant-saison lors du trophée des champions, et sans vouloir être anti-Parisien, il faut bien avouer que Vahid a du pain sur la planche. Huit buts encaissés au compteur. Il est vrai que les départs de Frédéric Déhu et Gabriel Heinze n'ont été remplacés que numériquement par les arrivées de Marco Yepes et Sylvain Armand, mais comment aurait-on pu imaginer pire démarrage ? Comme le présente Edouard Cissé sur le site officiel, et comme les fidèles de la Capitale l'avaient prévu, les Parisiens manquent cruellement de liant, de caractères forts capables d'emmener une équipe à la bataille. Preuve en est le match nul concédé au Parc ce dimanche soir à deux minutes du coup de sifflet final (2-2 contre les verts de l'AS St Etienne). Un match indigne de ce nom où les 40 000 spectateurs, une fois n'est pas coutume, ont pu siffler leurs joueurs qui semblaient parfois tétanisés, crispés, maladroits et psychologiquement désarmés. Coach Vahid a la clef et disait au sortir du match ''il n'y a pas de crise, on va encore travailler…''. Pour revenir aussi fort que l'an dernier ? Le rendez-vous est pris.

Le foot au JO ?

Mais qui est donc intéressé par le football au Jeux Olympiques ? Etait-ce parce que la France en était absente ? Etait-ce parce que les équipes qualifiées sont dites ''moins intéressantes'' ? Etait-ce par ce que les principaux championnats européens ont déjà commencé ou étaient dans leurs phases de préparations ? Toujours est-il que le football au JO ne fait pas recette. Et les chaînes de télévision le savent bien. Au stade des quarts, seuls l'Argentine et l'Italie étaient susceptibles d'attirer du monde. Hormis ces deux nations, le Mali, l'Irak, l'Australie, le Costa-Rica, la Corée et le Paraguay faisaient donc pâles figures et pouvaient difficilement drainer les foules. Pourtant certaines nations font jouer leurs meilleurs joueurs comme le Portugal de Ronaldo ou encore l'Argentine de Saviola. Alors une chose est sûre, malgré la nécessaire internationalisation et le respect d'une représentativité mondiale, le football aux jeux olympiques manque aujourd'hui de lisibilité…

SOS virés !

On ne change pas une équipe qui gagne ! Alors que fait-on avec une équipe qui ne gagne pas… ? Simple voyons, on vire le coach ! Alors que nous n'en sommes qu'au début des championnats de France Ligue 1 et Ligue 2, la palme de l'instabilité revient cette année au Montpellier Hérault FC. Seulement cinq journées auront été nécessaires aux pensionnaires de La Paillade pour se faire remarquer. On le savait, la température était montée de quelques degrés entre le président Loulou Nicollin et son entraîneur Robert Nouzaret. Déjà à la fin de la saison dernière, ce dernier avait failli être remercier pour mauvais service, mais l'amitié des deux hommes avait été plus forte que la raison. Le technicien était alors reparti en campagne avec l'objectif de remonter illico à l'étage supérieur. Cinq matches plus tard avec trois défaites, un nul et une victoire, c'est l'ancien champion d'Europe de 1984 et… ex-viré du Havre HC en Mai de cette année, Jean-François Domergue, qui reprend les rennes de l'équipe.

Nous aurions pu évoquer ici la défense marseillaise qui a pris trois buts contre les jeunes messins ou encore les débuts délicats de Man United.

Merci, et à la semaine prochaine !



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